Dans la veine usée de son prédécesseur : du cinoche pour vieillards cacochymes toussoteux à moitié sourd. Du Allen paresseux en mode auto-pilote avec de la philo-pop ras des pâquerettes comme carburant. Ça traîne la patte et c'est pas très drôle. Aussi, parodier Le Septième Sceau en 2021 c'est aussi rédhibitoire à la respectabilité d'une comédie que de parodier la fameuse scène de Basic Instinct. Je ne peux pas laisser passer ça.
Après, ça reste plaisant pour un dimanche pluvieux et je suis incapable d'attribuer une note inférieure à la moyenne à ce cher Woody. Mais force est de constater qu'être un paria ne le motive pas à sortir un dernier grand coup d'éclat.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Love of Cinema in the Time of Corona : Un top 20 de l'année écoulée
Créée
le 10 oct. 2021
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