PAIN is temporary. PRIDE is forever !

Ce film s'inspire d'une histoire vécue qui a eu lieu entre les années 1997 et 2000.

Smashing Machine est un drame de biographie sportive écrit, réalisé, produit & monté par le réalisateur Benny Safdie (Good Time, Uncut Gems) pour la première fois en solo sans son frère Joshua. L'œuvre cinématographique emprunte son titre & récit au documentaire de HBO ; The Smashing Machine : The Life and Times of Extreme Fighter Mark Kerr réalisé par le cinéaste John Hyams (Universal Soldier : Le Jour du jugement, Sick), également producteur consultant sur celui-ci. Au tournant des années 2000, les triomphes et les déceptions du combattant d'arts martiaux mixtes Mark Kerr. Produit & distribuer par A24, Smashing Machine met en vedette l'ancienne Icon du catch, la Star & producteur (via sa société de production Seven Bucks Productions, cofondé avec son ex épouse Dany Garcia) Dwayne Johnson (Le Roi scorpion, Red One) dans le rôle de l’ancien lutteur américain. Champion universitaire de lutte & de lutte libre ainsi que combattant d'Arts Martiaux Mixtes, Champions au Vale Tudo, Ultimate Fighting Championship & Pride Fighting Championships, le pionnier du MMA Mark Kerr surnommé The Smashing Machine. Pour un cachet d'acteur à 4 millions de dollars, The Rock retrouve dans une deuxième collaboration après Jungle Cruise, l'actrice Emily Blunt (My Summer of Love, Sans un bruit) dans le rôle de la petite amie de Kerr, Dawn Staples.

Smashing Machine a été présenté en première mondiale dans la compétition principale du 82e Festival international du film de Venise le 1er septembre 2025, où il a remporté le Lion d'argent du meilleur réalisateur. Il a rapporté seulement 20 millions de dollars dans le monde avec un budget de 50 millions de dollars.

Au casting de la machine à briser, Lyndsey Gavin, Ryan Bader, Bas Rutten (Paul Blart : Super Vigile, Prof poids lourd), Oleksandr Usyk et Satoshi Ishii.

Un jour sans douleur, c'est comme un jour sans soleil !

De 1997 à 2000, Mark Kerr a révolutionné les arts martiaux mixtes, devenant l'une de ses premières vedettes. Presque rien ne pouvait l'arrêter sur le ring, lui qui se mesurait à des adversaires qui étaient parfois des amis. Lorsqu'un match au Japon tourne mal, il doit faire un pas de côté et affronter ses démons. Combattre sa dépendance aux opioïdes ne sera pas de tout repos. Tout comme rétablir l'harmonie avec sa femme Dawn au sein d'une relation incendiaire qui ne manque pas d'intensité. Mais Mark est bien entouré et il a l'habitude de se battre pour arriver à ses fins.

Allez Mark, on y va, prochain round et qu'ça saute, ding ding ding !

Portrait vérité d'un champion des rings d'une discipline sportive violente et controversée du siècle dernier, le légendaire gentleman Mark Kerr, intronisé également cette année au Hall of Fame de l'UFC. Couvrant une période déterminante dans la carrière et la vie privée de Kerr, le récit dramatique ne cesse de captiver, en raison des vérités abruptes des combats, des convalescences avec dépendance aux médocs, les entraînements et du conflit conjugal. Nous (re)découvrons également les précurseurs de l'époque ; Mark Coleman, Igor Vovchanchyn, Akira Shoji, Kazuyuki Fujita joués par des Champions de diverses disciplines et même la légende Bas Rutten dans son propre rôle pour le final au Pride FC : Grand Prix 2000 au Tokyo Dome. Dwayne The Rock Johnson fait comme Mickey Rourke en trouvant son The Wrestler. The people's Champ incarne superbement le brutal Kerr sous un maquillage incroyable faisant face à la craquante Blunt en merveilleuse épouse névrosée. Malgré deux heures de métrage, l'ensemble passe comme une lettre à la poste jusqu'au générique de fin, cependant, dans la première heure, j'ai trouvé la musique de Nala Sinephro trop assourdissante. Grand fan de la première décennie MMA, je ne pouvais qu'aimer ce film coup de poing avec la performance renversante du Great One dans un vrai grand rôle de composition donnant la réplique à l'ange de Verdun Blunt, tous deux dans une belle alchimie complice sous l'œil tout en retenu du réal Benny.

Le titre est à toi maintenant, Cole !

Vraiment !

Vraiment !