Drame social
Un salarié dévoué est victime d'une maladie professionnelle. Devenu inapte et condamné par la science, il est licencié sans indemnité par un infâme patron capitaliste (pléonasme). Dans notre société...
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il y a 4 ans
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Comment passer d’un original sympa et rafraichissant à une suite qui semble devoir être directement rangé au rayon des séries B... « Speed 2 » est pour moi l’une des belles incarnations de cette mauvaise recette : « si tu as peur de faire la même chose, fais deux fois plus. » Bah non. Justement, ce qui faisait l’efficacité de « Speed », c’était son dosage, sa montée en puissance, et surtout sa capacité à transformer soudainement une situation du quotidien en situation extraordinaire. Eh bah désolé, mais en passant du bus au bateau, on loupe déjà pas mal d’éléments fondateurs du premier opus. Et vu que derrière on se contente juste de broder plus ou moins la même intrigue mais qu’on espère la cacher derrière une multitude d’explosions et bah forcément, toute la subtilité de la démarche tombe à l’eau…
Le 16 avril 2018
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Un salarié dévoué est victime d'une maladie professionnelle. Devenu inapte et condamné par la science, il est licencié sans indemnité par un infâme patron capitaliste (pléonasme). Dans notre société...
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il y a 4 ans
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Ce titre de critique est en réalité ironique car c'est un cauchemar dans les 2 sens du terme. Oui enfin, il y a pire c'est vrai, mais on n'est pas loin du n'importe quoi avec cette suite qui sent...
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il y a 4 ans
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Trois ans après l'immense succès de Speed, la Fox et Jan de Bont (sorte de père spirituel de Michael Bay) remettent ça. Budget et moyens techniques revus à la hausse, nouveau cadre paradisiaque pour...
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il y a 9 ans
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Il y a quelques semaines de cela je revoyais « Inception » et j’écrivais ceci : « A bien tout prendre, pour moi, il n’y a qu’un seul vrai problème à cet « Inception » (mais de taille) : c’est la...
il y a 3 ans
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Et en voilà un de plus. Un auteur supplémentaire qui se risque à explorer l’espace… L’air de rien, en se lançant sur cette voie, James Gray se glisse dans le sillage de grands noms du cinéma tels que...
il y a 4 ans
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Avatar premier du nom c'était il y a treize ans et c'était... passable. On nous l'avait vendu comme l'événement cinématographique, la révolution technique, la renaissance du cinéma en 3D relief, mais...
il y a 10 mois
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