Star Wars 7. Le Réveil de la Force. Enfin le retour de cette grande saga, qui aura su nous marquer, que ce soit les 40-50tenaires avec la trilogie, ou nous les jeunes adultes avec la prélogie. Au collège, je dormais, mangeais et étudiais Star Wars, je passais mon temps sur Battlefront II, ou le site de jeu de rôle et d'informations Anakinweb.com (le temps où charger une page web durait une demi-journée). Et la Revanche des Siths m’a extrêmement marqué à l’époque.Il reste encore aujourd’hui mon préféré, mais plus pour les mêmes raisons qu’à l’époque, c’est suffisamment beau pour le préciser. Vous savez à quel point je suis fan des traitements philosophiques et politiques dans un film, alors les adapter à un grand public comme a pu le faire George Lucas avec la chute d’une République… Je souligne bien cet aspect car j’en parlerais plus tard au sujet du VII. Oui la prélogie a des errements de réalisation, mais non je refuse de faire du bashing complet, puéril et non justifié (Coucou Première), elle est autant voire plus intéressante que la trilogie, à bien de égards.


Reste que je me suis peu à peu défait de l’ Univers Etendu, en grandissant, avec en point d’orgue la découverte de Mass Effect. J’en parle souvent dans mes critiques et articles, parce que c’est vraiment une saga qui m’a marqué, parce qu’elle dépasse en tout point n’importe quel film moyen hollywoodien par son impact. Plus réaliste, plus proche de nous, plus sociologique… Alors je sais que Coruscant dans Star Wars est le berceau de l’humanité et qu’on peut analyser beaucoup d’éléments dans l’ Univers Etendu s’inspirant de notre Histoire. Mais pas aussi directement. Et puis vint l’annonce de la reprise par Disney de LucasFilms, et la relance des franchises Star Wars et Indiana Jones au cinéma. Contrairement au scepticisme ambiant, j’étais plutôt content, au regard du travail de la firme sur la saga Avengers. Et dans le même temps que tout le monde retournait un peu sa veste au fil des trailers, je faisais le chemin inverse. C’est donc dans un état d’esprit pas forcément très favorable, je dois vous l’avouer, que je me suis rendu dans mon cinéma. Mais à la vue de l’écran noir, au moment où la musique a retenti, tout ça était bien derrière moi, les frissons sont arrivés d’un coup et me voilà retourner dix ans plus tôt, le sourire aux lèvres.


Il y a bien longtemps, dans une galaxie lointaine, très lointaine… Cela fait trente ans que la deuxième Etoile de la Mort a été détruite et que l’Empire, régime autoritaire régnant sur la galaxie, a été renversé par l’Alliance Rebelle, guidé par le nouveau Jedi Luke Skywalker, sa sœur Leïa et son ami Han Solo. Une Nouvelle République, pacifique, a été établie. Mais des cendres de l’Empire est né le Premier Ordre, mené par un mystérieux chevalier noir, qui tente de reprendre possession de son territoire et de son pouvoir. Luke a cependant disparu et les deux factions le recherchent activement. C’est dans ce contexte, et par le plus grand des hasards, que Rey, Finn et BB-8 se rencontrent. Le droïde possédant des informations sur la localisation du Jedi, nos deux héros décident d’aller le ramener à la Résistance, groupe occulte qui combat contre le Premier Ordre.


La recherche de Luke Skywalker. Qu’est devenu le Jedi suite à sa victoire sur l’Empire et le revirement de son père ? L’histoire que nous propose J.J. Abrams n’est pas si éloigné de ce qu’on peut retrouver dans l’ Univers Etendu, et est sur le papier plus qu’une très bonne idée de base. Mais encore une fois, si vous ne l’avez pas compris à la lecture de mon flop, il y a un énorme fossé entre le potentiel du film sur le papier et ce qu’il arrive finalement à nous prouver sur grand écran…


Pour débuter, le spectateur manque cruellement d’informations sur ce qu’il s’est passé durant les trente dernières années. Et attention ce n'est que le début du flou artistique global. La situation de la galaxie n’est pas du tout cohérente au début du film. Selon la prophétie des Jedis, un des leurs est censés ramener l’équilibre dans la force. Deux interprétations sont possibles : soit c’est effectivement Anakin/Dark Vador, qui accomplit sa mission dans le III en posant de nouvelles bases à la galaxie (2 siths : Dark Sidious et lui-même, 2 Jedis : Yoda et Obi-Wan, soit c’est son fils Luke qui détruit (ou qu’il pense détruire) l’Ordre Sith en tuant l’Empereur avec l’aide de son père. Dans Star Wars 7, on se retrouve avec un sith et au moins un élève-sith, un Jedi qui s’est enfui et une Jedi qui refuse de l’être (Leïa). Surtout, après la réalisation d'une telle prophétie apocalyptique, tant pour l'Ordre Jedi que l'Ordre Sith, il faut une histoire béton pour que le film tienne suffisamment la route avec la pression de l'héritage. Alors je veux bien qu’il y ait un Réveil de la Force, mais il faut que le réalisateur explique un peu comment la galaxie en est arrivée là alors que le VI nous laissait sur la victoire des Jedis (et on ne nous donne pas tout à fait une réponse suffisante pendant le film)…


De la même manière, la remarque est valable pour la situation plus globale de la galaxie. Aucune information n’est donnée sur la situation géopolitique et politique alors que c’est de l’essence même de la saga : la lutte contre l’oppression d’un régime totalitaire, la chute des démocraties… Ici, sur le papier, le réalisateur avait une idée originale et exploitable de multiples manières : deux régimes concurrents, qui possèdent la même légitimité, luttant politiquement et militairement pour revendiquer un même territoire. Cela aurait permis d’amener un nouveau souffle au traitement politique de la saga. Mais là, rien du tout. On ne sait pas ce qu’est la Résistance, on ne sait pas sur quelles planètes est souveraine la Nouvelle République, d’où part le Premier Ordre, d’où vient l’idée de remplacer les clones par des individus formatés ?


Je pourrais aller encore plus loin dans le flou scénaristique total du film et du manque de travail sur le background, mais cela m’obligerait à spoiler certains points-clés. Certains diront que c’est une trilogie et que les réponses seront apportées après ? Qu’on garde secret les origines des nouveaux personnages oui, c’est un ressort scénaristique. Ce n’est pas le cas de l’Histoire derrière l’histoire. Un film doit d’abord se suffire à lui-même pour sa compréhension, ce n’est pas le cas ici. D’autres diront que c’est ce qu’a voulu le réalisateur, pour plonger le spectateur dans l’inconnu, qu’il se sente perdu dans un univers qu’il connaît pourtant ? Encore une fois pourquoi pas sur certains pans du scénario. Pas sur TOUT le scénario. C’est vraiment pour reprendre la mode des films où on ne dit strictement rien pour faire du "masturbage intellectuel". Là c’est caricatural tellement le concept est poussé loin, et ça n’apporte au final rien du tout. C’est de la flemme scénaristique et mercantile. « Vous saurez tout du pourquoi le cimetière de vaisseaux sur Jakku ! ». N’y comptez pas. Le VIII a intérêt à apporter des réponses. Je suis loin d’être contre le mystère, mais y a quelque chose que les deux trilogies précédentes avaient réussi à faire : nous faire découvrir la galaxie dans les yeux de son personnage principal, progressivement, en même temps que lui. C’était le cas avec Luke qui découvrait petit à petit les enjeux de la Rébellion, c’était le cas avec Anakin qui découvrait l’Ordre Jedi et la République. Pourquoi ça n’a pas été fait avec Rey ?


Vous pensez que je vous ai donné tous les défauts sur le scénario ? Que nenni ! Vous vous rappelez du moment où j’ai parlé de Première, qui loue la trilogie et bashe illogiquement la prélogie ? Et bien J.J. Abrams nous offre la même chose avec son scénario : jamais aucune référence à la prélogie (bon ok, y a un caméo vocal d’ Ewan McGregor, mais c’est tout), comme s’il voulait la rayer de l’Histoire. Alors cela passerait sans le second problème, parce que ca reste un choix de réalisateur. Ce problème, c’est le fan service abusif et mal géré en rappel à la trilogie et surtout à l’épisode IV. Il y a vraiment un élément que je ne saisis pas : tout le monde a un peu bashé Jurassic World parce que c’était du fan service et une reprise du concept de Jurassic Park. Alors que là, c’est encore pire, mais tout le monde loue J.J. ? Je suis très friand de fan service quand il est bien géré. Ce qui n’est aucunement le cas ici. Mais si ça le limitait à des petites astuces de mise en scène, un petit clin d’œil forcé, s’il est raté tant pis, ça ne fait pas tellement sortir du film. Là la grosse problématique est que le fan service contamine l’ensemble de la structure du scénario. Il se passe exactement la même chose au même moment que dans le IV. Le ressort scénaristique majeur du film, celui qui résout l’intrigue, est exactement le même que dans Le Nouvel Espoir (et en plus la résolution est aussi illogique que les boucs qui sortent de nulle part dans le Hobbit 3). Rey vit exactement le même passage initiatique que Luke. Si c’était fait subtilement et symboliquement ( Anakin par exemple, empruntait le même chemin que son fils, mais à l'envers : à chaque fois que Luke faisait un bon choix, Anakin faisait le mauvais et se rapprochait du coté obscur), j’aurais dit oui, mais elle vit matériellement la même chose, et en plus le réalisateur va bien l’appuyer avec un gros clin d’œil bien gras.


Et pas de bol, c’est au moment où J.J Abrams a voulu se démarquer le plus de l’esprit Star Wars qu’il se viande en beauté : le méchant. Ahlàlà, Kylo Ren… Je crois que je pourrais écrire un roman sur ma déception: il est très mal géré. Star Wars est connu pour avoir offert les méchants les plus badass et charismatiques de l’univers : l’énigmatique Dark Maul, l’élégant Dark Tyrannus, le déchiré Général Grivious, l’imposant Dark Vador et le sublime Empereur Dark Sidious. Kylo Ren fait bien ridicule à côté, en grenouille asthmatique qu’il est quand il enlève le masque. J.J. Abrams a souligné en interview avoir volontairement écrit un méchant pas charismatique du tout, pour apporter un vent de fraicheur à la saga, et pour faire signifier qu’il était encore plus méchant et plus sombre que les autres, qu’il faisait plus peur eu égard à son comportement dans le film. Sur le coup, si je pense très personnellement que c’est un blasphème pour une saga comme Star Wars (dans un univers très manichéen, c'est parfois nécessaire de forcer le trait), je n’aurais probablement pas critiqué à ce point ce choix s'il avait été réalisé avec justesse. D’une part parce que c’est un choix de réalisateur (et je serais bien mal placé pour commenter un choix artistique), d’autre part parce qu’on est les premiers à l’Agence à s'emporter quand un film part dans les clichés, ce n’est pas maintenant qu’on critiquera un tel effort. Non, vraiment, J.J., je vous aurais volontiers laissé partir dans cette voie-là sans critiquer.


Encore fallait-il que vous soyez cohérent jusqu’au bout, et surtout que l'acteur sache bien le jouer. Pendant la première partie du film, Kylo Ren est plus que badass avec son masque ! Il est peut-être le plus puissant des chevaliers noirs que l’on connaisse (je n’utilise pas volontairement le mot sith, il ne fait pas partie de l’Ordre), dépassant largement les déja surpuissants Vador et Sidious. Bien aidé par des effets visuels, auditifs et sensoriels magnifiques, il est capable de chose infinie avec la Force, le vivre au cinéma est vraiment jouissif. Mais alors, dès qu’il enlève son masque… Il est vraiment tout mou, sans réelle conviction. Son acteur Adam Driver n’arrive même pas à intégrer le moteur, la motivation de son personnage, alors qu’elle était brillante cette idée de (SPOIL). Mais il fallait être cohérent Abrams, et choisir, soit il était badass, soit il était tout mou, mais pas les deux, ce n’est pas possible de rentrer dans le film sinon, le spectateur se sent trahi.


Ce n’est pas la seule chose à redire sur ce personnage très mal écrit. D’abord, le scénario nous fait comprendre qu’il doute du côté obscur, et qu’il a la tentation de la Lumière de la Force. Alors soit, c’est vraiment une très bonne idée de reprendre le cheminement à l’envers, cela nous change du Jedi qui est tenté par le côté Obscur comme Qui Gon Jin, Anakin, Luke ou même Mace Windu (qui y a succombé juste avant de mourir salement). Mais le fait de succomber au Côté Obscur, c’est une métaphore de ce que l’Homme vit tous les jours, de la tentation du Mal, du pécher originel. C’est extrêmement facile de succomber pour le pouvoir, l’argent… Résister au Côté Obscur, ou vouloir revenir du Coté Lumineux, ce n’est malheureusement pas aussi facile . Dans la vraie vie, il faut un vrai travail sur soi, une remise en cause, une réflexion longue à l’intérieur. C’est pareil avec le Côté Lumineux, parce qu’on ne voit pas tout de suite les intérêts à « être gentil » quand on est Jedi. Là Kylo Ren le prend vraiment par-dessus la jambe, on nous dit juste qu’il doute une fois, et ce doute sert uniquement à un but précis du scénario. C’est bâclé et c’est bien dommage !


Dernier problème avec Kylo Ren, mais cela concerne plus globalement le traitement de la Force : comment est-il possible que Rey et Finn (je ne spoile rien, c’est dans la bande-annonce) savent gérer le combat au sabre laser alors qu’il faut une formation poussée pour les maitriser (il n’y a qu’à voir la prélogie et la difficulté de Luke dans la trilogie) ? Pire, comment ceux-ci peuvent rivaliser avec un chevalier noir qui maitrise la Force comme jamais auparavant et qui a subi une vraie formation ? Déjà qu’il avait perdu de sa superbe en enlevant son masque, cette réalité diminue encore plus son utilité dans le film…


Bon promis, je crois avoir fait le tour de tout ce qui ne va pas dans le film. Enfin « tout ce qui ne va pas », c’est bête à dire mais on les voit les bases d’un excellent film, mais c’est excessivement mal exploité. Pour contrebalancer, je vais aborder les vrais bons points du film, ce qui me donne vraiment envie de voir la suite.


J’ai déjà évoqué les magnifiques effets spéciaux du film en ce qui concerne l’usage de la Force. Je tiens à le souligner une nouvelle fois tant j’ai été bluffé. On a vraiment l’impression de le vivre dans son fauteuil, quitte à être parfois happé par l’évènement et complètement à bout de souffle. Elle aide aussi à s’imprégner du ressenti des personnages. Je pense surtout à Leïa, qui est la seule vraiment soumise à la Force et qui ressent au plus profond des évènements qui se passent à quelques années-lumière d’elle. L'ensemble des émotions est vraiment très bien géré, au point d’avoir la larme à l’œil sur certaines scènes. Ces émotions sont même utilisées pour faire sous-entendre certains enjeux-clés du film, via les regards ou les petites attentions des personnages entre eux. C’est très bref, quasi subliminal, mais c’est extrêmement bien joué.


C’est la même chose pour la musique de John Williams. J’ai entendu des critiques ici et là, sur le fait qu’il n’était pas des plus inspirés pour cet épisode. Pour le coup je dirais l’inverse. Outre le thème principal préservé mais modernisé, ce qui le rend encore plus grandiose, il participe aux évènements épiques du film avec des compositions magistrales. Mais là où il est le meilleur, c’est quand il prend des risques. Et notre cher John s’est senti l’âme d’un poète. Le thème de Rey est vraiment magnifique, tout en douceur, enfantine. Dans les paysages désertiques de Jakku, la composition fait mouche.


Enfin, le vrai point fort du film. L’énorme avantage qui aurait pu tout changer sans les petits points malheureux : le duo Rey-Finn (complété par le personnage de Poe, sous exploité mais vraiment intéressant). Parce que si on rappelle à la guerre les mammouths Harrison Ford, Carrie Fisher et Mark Hamill, c’est bien les petits nouveaux Daisy Ridley et John Boyega qui crèvent l’écran (bon il faut avouer que les trois autres ne sont pas exploités entièrement dans le film). Quel complicité qui se dégage entre les deux personnages ! Et enfin, ce n’est plus des personnages clichés au possible pour des représentants de « minorités ». On n’obtient pas un cliché de la femme fatale ou du noir bien raciste. Les héros sont là, peu importe qu’ils soient homme/femme, blanc/noir/jaune/bleu/orange. C’est rafraichissant, et ça représente enfin le monde moderne. Bravo, Hollywood est enfin entré dans le monde actuel.


De même, si Rey est débrouillarde, c’est avant tout parce qu’elle a grandi seule sur Jakku et appris à vivre en solitaire. Elle n’est pas badass pour rien, c’est justifié, et c’est dans la justesse (coucou le reboot de Tomb Raider !). Finn est vraiment le rôle qui est écrit avec le plus de réalisme. Certains y ont vu du racisme et de la lâcheté, je dois dire que c’est tout l’inverse : il réagit exactement comme n’importe qui le ferait face aux évènements. Il est maladroit mais il veut tout faire pour survivre. Et il s’attache involontairement à Rey en s’enfuyant, alors qu’il l’a accosté juste parce qu’il la trouve jolie. Comme tous les spectateurs en fait. Le film se moque aussi du sexisme ambiant et inconscient du cinéma, mais aussi le réflexe que tout homme a, cette pulsion protectrice des femmes environnantes. Ce moment est géré tout en humour par une Rey indépendante qui a du mal à l’accepter voire même à le comprendre, tout en restant loin du cliché féministe. Tout en justesse. L’humour est de toutes manières extrêmement bien dosé tout au long du film, c’est plus qu’agréable (je pense surtout au caméo de Daniel Craig, vraiment, vraiment très drôle !)


Star Wars: Le Réveil de la Force n’est donc pas un film exceptionnel. Il contient beaucoup d’erreurs, certaines grossières, impardonnables pour la licence (non traitement de la politique, flou artistique sur le scénario, méchant pas charismatique et irrégulier…), qui seraient sûrement passées plus inaperçues sans le marketing agressif de Disney. Comme j’ai pu le dire dans mes flops, à force de le présenter comme un chef d’œuvre, les simples petites erreurs deviennent vite visibles et inacceptables. Le film contient tous les ingrédients pour être un grand film. Il se rate malheureusement sur des points essentiels, notamment sur l’écriture et le fan service. Un article anglais le présentait comme le moins intéressant de la saga, je ne suis pas loin de penser la même chose. Au regard de l’attente autour du film, le retarder d'un an pour peaufiner le background et apprendre à Adam Driver à jouer son rôle avec justesse n’aurait pas été du luxe. Reste que le film est un très bon divertissement, très beau visuellement, magnifique dans les effets spéciaux, réveillant un peu de nostalgie et surtout rentre dans la modernité avec un duo prometteur : Rey et Finn. Vivement les réponses à nos questions et une vraie direction d’acteurs.

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le 22 janv. 2016

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