le 29 oct. 2017
L'école de la rue
Pas inintéressant mais un peu facile et complaisant. Les portraits sont intéressants parce que les intervenants le sont. Les auteurs les font parler, les laissent s'exprimer et c'est là qu'on se rend...
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Ce film vous offre d'observer dans toute leur intimité des enfants uniques au destin incroyablement difficile. Des vies brutales, tragiques et douloureuses sont exposées à votre voyeurisme. La magie et l'innocence de l'enfance, l'unicité des personnes suivies et la réalisation particulierement sensible rendent ce "documentaire" inoubliable.
Le réalisateur a suivi ces personnes pendant une année entière pour ce film, mais il a aussi documenté leurs vies tout au long des 30 années qui suivirent.
Bien sûr, il y a toujours dans le public le sempiternel petit Français bourge qui "critique" la démarche, trouve à redire sur la forme ou le fond, répétant comme un perroquet ses bumper stickers habituels : "complaisant", "facile", etc. Donc chacun sa sensibite biensur. Pour ma part, j'ai trouve ce film unique et bouleversant. Je le considere comme un chef-d'oeuvre.
Je vous rappelle le poème de Jean Richepin judicieusement amelioré et chanté par Brassens :
Pour choyer cette femme et nourrir cette mère
Ils pouvaient devenir volailles comme vous.
Mais ils sont avant tout des fils de la chimère.
Des assoiffés d'azur, des poètes, des fous.
Regardez-les, vieux coq, jeune oie édifiante !
Rien de vous ne pourra monter aussi haut qu'eux.
Et le peu qui viendra d'eux à vous, c'est leur fiente.
Les bourgeois sont troublés de voir passer les gueux.
Note : Il y a aussi deux courts métrages réalisés plus tard où l'on peut voir ou en sont Rat et Tiny, séparément. Et puis un long métrage réalisé en 2016 où l'on retrouve une Tiny de 44 ans, morbidement obèse, vieillie, sans emploi, sous methadone, et mere de 10 enfants métis : "Tiny The Life Of Erin Blackwell".
Créée
le 15 sept. 2025
Critique lue 28 fois
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