Des aliens recherchent un ado, Cameron, sur Terre. Un parmi 7 milliards, une aiguille dans une meule de foin. Ces extraterrestres maîtrisent la force bleue, jeune pas d’avoine (ben oui, c’est du foin, pas de l’avoine, on t’a dit Oskar !) et envoient des kaméhaméhas bleus explosifs qui flottent dans l’air et qui sont très destructeurs. Du coup, l’ado, va devoir fuir et ensuite agir pour sauver la Terre.
Quand le film commence, les aliens ont déjà débarqué sur Terre pour débusquer Cameron, qui est très précieux. Vous saurez pourquoi si vous vous décidez à regarder ce film.
Je tiens à vous prévenir que c’est très long, très douloureux à suivre, quand, comme moi, on n’accroche pas du tout ! Si vous accrochez, vous devriez y trouver un certain plaisir. C’était, pour moi, une véritable torture (suis-je maso ?). « Mais vous êtes fou ? Oh oui », aurais-je envie de dire. (Pour faire une référence au meilleur groupe de rap conscient de l’histoire)
J’ai, comme d’habitude, tenu à aller au bout, en attente d’un miracle, mais je n’ai rien vu de bon. Quand j’ai vu, au tout début, ce type regarder au loin avec, dans la main, une télécommande qui émet une lumière bleue, et qui dit : « c’est parti (pour le show) », j’avais déjà envie d’abandonner, d’arrêter là, de passer à autre chose.