Entre un Jean Dujardin encore plus cabot que d'habitude, une Bérénice Béjot jolie mais tellement culcul même sans le son, une réalisation en forme d'hommage lourdingue aux cinéma muet et une bande son tellement... entendue, The Artist surfe sur la vague néo-rétro histoire de plaire et ça a marché.
Mais comme je suis un connard prétentieux qui veut aller à contre courant, je me suis juste fait chier comme un rat mort, et franchement, si la presse n'avait pas saoulé tout le monde avec ce film objectivement pourri, personne ne serait aller le voir et ca nous aurait économisé pas mal de temps.