le 16 janv. 2011
Critique de Taxi Driver par Fatpooper
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
Pas inintéressant, ce film.
Les personnages sont chouettes mais sont mal exploités. Le fait de cacher l'histoire des personnages, c'est finalement empêcher de les exploiter pleinement, alors que si l'auteur avait joué franc jeu dès le début, on n'aurait pas passé la moitié du film à jouer au chat et à la souris... les mises à mort sont peu inspirées. J'aime beaucoup le fait qu'il prélève le sang, mais la chorégraphie, ou la méthode, n'est pas très développée, n'est pas très intéressante. Quant aux autres mises à mort, il est regrettable que cela ne pose aucun problème de conscience ni que ça permette d'amener des mises à mort un peu plus originales.
La mise en scène est étonnamment sympathique. Je m'attendais à quelque chose de fauché et peu convaincant ; en fait, le réalisateur mise sur l'esthétique et le rythme, et il le fait bien. Quelques petites maladresses peut-être ici ou là, mais c'est surtout dû à des acteurs pas très bons. Ils ne sont pas mauvais mais ont tous tendance à en faire un peu trop. En plus, hormis le père et le tueur, aucun n'a vraiment une bonne gueule (c'est un peu le syndrome de l'acteur qui aurait pu réussir avec un visage 'réussi', un peu comme Larry Fessenden qui est un Jack Nicholson raté). Chapeau tout de même au fils pour avoir pu rester les yeux ouverts si longtemps. Enfin les effets spéciaux sont corrects. Bon, les entailles sont toutes un peu pareille, c'est bref, ça ne dégouline pas beaucoup, donc ce n'est pas non plus impressionnant... même les fausses larmes ne sont pas vraiment crédibles, on sent qu'on les a versées juste avant le plan.
Bref, "The bleeding house" comporte de bonnes idées et une esthétique soignée mais reste un peu paresseux dans les traitements narratif et scénique.
Créée
le 3 oct. 2016
Critique lue 373 fois
le 16 janv. 2011
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