De Renny Harlin, auteur de 58 minutes pour vivre, Cliffhanger ou Au revoir à jamais, je m'attendais à de meilleures scènes d'action que celles brouillonnes de The Bricklayer. Petit film d'action tourné en Bulgarie avec Aaron Eckhart dont je m'inquiète de la tournure de la carrière en voie de Liam Neesonisation. Ou Olga Kurylenkosation. On n'est pas encore au niveau d'un Nicolas Cage mais bon faudrait qu'il fasse gaffe.
Parce que c'est pas fameux. C'est un thriller d'action mâtinée d'espionnage et de géopolitique où Eckhart avec miss Dobrev cassent la gueule de quelques mafieux au milieu. Mais bon, faire chanter la CIA, et envoyer un maçon fan de jazz pour faire le ménage, je sais pas si ça arrive tous les jours ce genre de problème.
Dommage parce que Harlin avait fait un très bon Funeral Killers en 2019. Dans l'océan de médiocrité qu'est sa filmographie depuis la fin des années 90, je m'attendais au phénix renaissant de ses cendres. Ce ne fut qu'un feu de paille.