Le film qui retranscrit le mieux à ce jour le style de Bret easton Ellis (superficialité et décadence de la bourgeoisie américaine), rien à voir avec l'adaptation nanardesque de American Psycho. Au niveau esthétique, il s'inspire grandement des derniers travaux de Nicolas Winding Refn, et s'en tire avec les honneurs vu le peu de moyen à disposition, ce qui ne peut-être qu'une bonne nouvelle quand on sait que Paul Schradder compte réalisé "The Dying of Light", un ancien projet de NWR (qu'il va désormais produire), racontant la dernière mission d'un agent de la C.I.A. alors qu'il est entrain de perdre la vue.