le bras d'honneur

pas bon, pas mauvais

ah la franchise cloverfield...

vous en reprendrez bien un peu ? juste un doigt... un doigt, ça marche... je vous le mets où ?

dans le fondement du scénario :

eh oui c'est ça de pas écrire le tout à l'avance, on se retrouve à remplir des cases vides, celle qui manque au scénariste n'est pas nombreuse mais elle est énorme : la logique

je me disais bien qu'au pif, ça sentait mauvais mais là y en a qui ont abusé du navet dans la daube

bon, c'est bien d'avoir mis dans la sauce les noms de

• cryer, la fille qui essaye de rentrer dans la maison de stambler, sans doute parent de la personne qu'elle interviewe
• "stambler" est le personnage de john goodman qui brillera par la suite dans son incarnation du type mi-kidnappeur, mi-complotiste,

mi-complètement-dans-le-vrai

mais ça suffit pas

est ce que les solutions faciles et évidentes sont probablement à l'origine du paradoxe ?

comment réparer le tamponnage inter-dimensionnel ? facile, on refait ce qui l'a causé au départ

non le seul paradoxe est que le spectateur comprend plus rapidement la situation que les protagoniste, ça doit être ça le paradoxe cloverfield...

enfin, il est heureux que l'on soit dispensé de l'explication de la présence des vers