Dans Les Yeux de cette Annie vue si longtemps après ceux de Laura Mars, je n’ai eu d’yeux, dirais-je, que pour Annis prénom Francesca, même si c’est mentir un peu que de dire ça, Annis, actrice anglaise qui n’est pas née à Nice où il y a une Promenade des Anglais alors que dans ma liste « anglaises qui me rendent romantique » il n’y a pas, mais il y aurait eu, Annis Francesca si je l’avais vu, ne serait-ce qu’une seule autre fois, me faire l’effet qu’elle m’a fait ici dans une seule scène, celle où elle sort la nuit pieds nus dans le parc, et là je suis plus loin d’une comédie avec Redford en 67 que d’une chanson de Gainsbourg chantée par France Gall un an plus tôt.
Je n’ai rien d’autre à déclarer sur ce film qui n’a pour moi aucun intérêt sinon que je l’ai regardé jusqu’au bout, devinez pour qui.