Tout commence par la longue agonie d'une vieille femme veillée par son compagnon. Avec ses plans fixes interminables, son absence totale de dialogues et les sons de la forêt, loin de la civilisation, La ultima tierra soumet de longues plages de réflexion (et d'ennui ?) au spectateur. Parler de cinéma contemplatif est un sérieux euphémisme.

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le 28 avr. 2020

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