⚠️ ATTENTION : SPOILERS EN MASSE ⚠️
Impossible de comprendre l'engouement autour de cette chose en trois actes, racontée dans un ordre antichronologique :
Acte 3 : c’est la fin du monde.
Les gens meurent, la télé montre des catastrophes, on ne comprend pas trop ce qui se passe, mais c’est la fin du monde, on vous dit ! Une chose cependant nous est rabâchée à maintes reprises : Internet marche mal depuis des mois. Quelle émotion.
On aperçoit aussi de mystérieuses pubs pour un certain Chuck, dans les médias, dans les rues… Le film ne nous donnera jamais la moindre explication. Mystère et frustration.
Acte 2 : un pas de danse à Disneyland.
On fait enfin la connaissance de Chuck, comptable de profession. En plein milieu d’une rue aux allures de parc à thème, il tombe sur une batteuse sans grand talent. Et là, sans prévenir, il se met à danser.
La foule — comme une seule personne — se masse autour pour admirer le spectacle. Une danseuse surgit de nulle part pour l’accompagner. Ébloui par tant de grâce improvisée, même le réalisateur semble oublier que personne d’autre n’apparaîtra jamais dans cette rue.
Quelques verres plus tard avec la fameuse danseuse (j’en tremble encore d’émotion... tout cet alcool !), l’acte s’achève.
Acte 1 : apprentissage de la danse et pièce interdite
Chuck, plus jeune, est élevé par Papy et Mamie. C’est Mamie qui lui enseigne la danse (logique). Il rejoint ensuite le club de son école, tombe amoureux d’une fille plus âgée, et lors du bal de promo, ils enflamment la piste. In-cro-ya-ble.
Dans le grenier, il y a aussi des fantômes.
(En fait, ces fantômes montrent la mort dans le futur, et Chuck parvient à se reconnaître avec 30 ans de plus… Trop fort, le Chuck.)
Fin du film. Que d’émotions.