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Marche funèbre
Ce n'est pas très conventionnel, mais commençons par une mise au point entre rédacteur et lecteurs : je fais partie des rares personnes qui n'ont pas aimé Birdman, le précédent travail d'Alejandro...
le 25 févr. 2016
173 j'aime
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Solide le garçon. Trop peu-être...
Les décors sont magnifiques, mis en valeur par une photo sublime. L'Amérique sauvage comme nous aimons à l'imaginer : vaste, rude, inhospitalière et tellement envoûtante. L'action se déroule pendant l'hiver, en montagne. Une nature pour des hommes à son image tel les personnages des romans de Joseph Boyden.
Des hommes durs sans doute mais là ou tout se complique c'est lorsque notre ami trappeur, M.Glass, survit à deux attaques de grizzly. Complètement déchiqueté, il ne connaît ni les infections ni la septicémie, vous me direz, le froid conserve. Après avoir rampé des kilomètres, il passe un temps infini dans une rivière ou l'eau doit frôler les 2 degrés. L'hypothermie, il ne connaît pas non plus. J'en passe et des meilleures.
Trop c'est trop, et c'est là que le film perd toute crédibilité. Survivre c'est possible mais pas à tout...
3
Écrit par
Créée
le 27 févr. 2020
Critique lue 89 fois
1 j'aime
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le 28 déc. 2015
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Die Hardy: with a Vengeance
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