To Rome with Love par tobor
On peu comprendre mr W Allen qui préfère passer quelques moments agréables dans les capitales européennes avec une équipe de tournage et sa savante sélection de comédien/nes, le tout aux frais de la prod, que de rester au pays en souffrant les acharnements critiques comme "vieux pervers", fardeau dont il semble vouloir se laver en montrant un Roberto Benini frappé par la houle des ragotages médiatiques s'abattant, totalement injustifiée, sur sa toute normalité.
Ici, tout est non seulement hystérique, gonflant et artificiel mais en plus, l'idée fait défaut ou, en tout cas, laisse entrevoir un gâtisme avancé: chanter sous sa douche pris au pied de la lettre.
Pour ce qui est du jeu d'acteur de W.A, on se rend compte que son comique des débuts se basait sur son personnage de "jeune homme" ayant des réflexion, réflexes et comportements de vieux, "effet comique". De nos jour, bof! il est vieux et toujours avec ses mêmes rengaines, sans plus aucune surprise ni décalage.
Dommage, j'ai souvent apprécié son travail par le passé...