Et quelle femme nom de dieu ! Au contact de Torajiro elle est tellement joviale, libre, hyper sensible, admirative par tout ce qu'elle découvre chez la famille Kuruma, on dirait une jeune fille innocente qui découvre la vie, un nouveau monde jusqu'alors inconnu pour elle.
Je l'ai reconnu sur la photo du film 48 donc je suis content j'espérais la revoir plus tard et vu l'affection que lui porte Yoji Yamada (même si les précédentes actrices se débrouillent très bien, on avait quand même Ayako Wakao pour le film 06, mais ici Lily à quelque chose en plus que les autres non pas) espérons que ça aboutisse à quelque chose de concret, j'attendrais 48 films si il le faut!
Toujours la même recette mais dans laquelle on rajoute quelques petites épices, pas de quoi changer le goût du plat mais il y a quelque chose de plus agréable en bouche que d'habitude.
Une jolie jeune fille (Megumi) qui passe à l'échoppe de Dango attendre son jeune amoureux à la sortie de l'imprimerie et le gamin de Hiroshi/Sakura qui commence à parler. C'est tout :)
On est habitué Yoji Yamada tient la recette parfaite qu'il ne tient pas à changer (pour l'instant en tout cas), on se contentera de quelques petites pincées par ci par là.
A noter que ça fait quand même deux films que Torajiro est plus en décalage que jamais avec les femmes qu'il rencontre, il n'y a plus cette amertume de la déception amoureuse qui caractérisait les opus précédents, les concurrents sont absents d'ailleurs, il n'a jamais été aussi peu amoureux de sa vie! ça change.
Ou alors c'est quand il s'en approche trop qu'il préfère se mettre autant de barrière peut-être.