Toy Story 3 (2010)

20 ans (à titre d'année de sortie française) que Toy Story n'avait plus eu droit à un nouvel opus dans sa saga qui avait pourtant fait les éloges en 1995 avec justement le premier opus de qualité.

2010 marque donc le retour en beauté pour la saga qui se dote d'un 3e volet avec une très excellente ambiance et une très excellente mise en scène pour ces personnages auquel la trilogie Toy Story s'arrêtait (sauf que c'était sans compter sur le 4e volet pour 2019).

Le message de ce film est clair, net et précis. Après avoir découvert les joies de l'amitié dans le premier volet, les expériences dans le second volet, ce troisième volet se veut être une fin utile à l'être humain et à échelle des Jouets.

Si le premier film a une animation qualifié de vieillot et que le second film dispose de trop, beaucoup trop, d'humour et de références à d'autres films. Alors oublier tout ça dans le 3e film, même si on notera un Buzz L'Éclair qui parle espagnol et qui pense n'être que le véritable Buzz L'éclair, ce qui fera écho au premier volet.

J'en ai parlé tout au long de la critique de ce film mais ce qui le caractérise c'est sa fin aussi belle que triste. En effet, le premier opus nous évoque l'enfance de Andy (le propriétaire des jouets de la saga) et que le deuxième le prolonge avec la pré-adolescence, ce troisième opus nous plonge carrément vers l'âge adulte où nous devons délaissé nos jouets d'enfance pour des projets d'adulte et dans le cas de Andy pouvoir aller à l'université.

Comme je l'ai expliqué dans le précédent paragraphe, la fin est donc pour moi le moment mouchoir le plus fort de tout l'univers PIXAR et tout films confondus. La raison ? Simplement le fait d'évoquer le passage à témoin de tous ces jouets vers un enfant plus jeune. C'est une très belle façon de clore la saga pour moi comme pour beaucoup.

PS: Si vous désirez le regarder, je vous conseille d'avoir une boîte ou un paquet de mouchoirs pour la fin surtout si vous êtes très sensible... Ça peut vous être utile d'en prévoir.