Les mains d'Orlac
Portrait d'une femme, veuve, bourreau le jour, prenant conscience de sa perdition (à l'opposé du personnage dans "Le diable n'existe pas" de Rasoulof, ne faisant pas cette révolution sur lui-même),...
Par
le 7 janv. 2024
Créée
le 17 juin 2014
Critique lue 495 fois
3 j'aime
D'autres avis sur Train de nuit
Portrait d'une femme, veuve, bourreau le jour, prenant conscience de sa perdition (à l'opposé du personnage dans "Le diable n'existe pas" de Rasoulof, ne faisant pas cette révolution sur lui-même),...
Par
le 7 janv. 2024
Les meilleurs moments montrent l'univers glauque de la misère sociale, affective et sexuelle. Les pires moments tournent en rond dans cet univers glauque sans convaincre.Lire l'analyse de Chinese...
Par
le 22 janv. 2023
Diao Yi Nan, c'est certain aime le froid (moi aussi ça tombe bien), l'hiver et les paysages enneigés et glacés. Je découvre ce film juste après la vision de "Black Coal", ce qui est plutôt bon signe...
Par
le 23 juin 2021
Du même critique
Cannibal Holocaust est très vite devenu archi-culte grâce aux nombreux scandales qu'il a suscité. Interdit aux moins de 16 ans dans sa version censuré. Accusé d'avoir réalisé un snuff-movie, le...
Par
le 6 nov. 2011
19 j'aime
8
Ah ! Le cinéma de Gus Van Sant, ces images, ces musiques qui bercent ces adolescents en marge de la société... C'est cette fois-ci traité avec beaucoup de légèreté malgré l'image de la mort ambiante...
Par
le 24 sept. 2011
18 j'aime
"Je suis une mouette" s'écrit Nina en toute fin de pièce. En effet, elle et tous les autres personnages de cette pièces incroyable de Tchekhov, ne sont rien d'autres que des mouettes. Des oiseaux...
Par
le 5 avr. 2013
14 j'aime
2