Sûr que le combat du pot de terre contre le pot de fer est un thème qui fonctionne toujours. Pour une fois, le titre français est plus adapté que l'original. L'histoire d'une jeune veuve éleveuse de homards qui se heurte à un magnat des chemins de fer et devient une star des médias. Fidèle à lui même, Richard Quine, un Billy Wilder de poche, empaquète le scénario dans un récit candide et percutant sur le rêve américain en égratignant le capitalisme au passage. Doris Day est moins crispante que d'habitude et Jack Lemmon est évidemment formidable. Du bon cinoche.

Cinephile-doux
8
Écrit par

Créée

le 2 août 2019

Critique lue 153 fois

1 j'aime

Cinéphile doux

Écrit par

Critique lue 153 fois

1

D'autres avis sur Trains, amours et crustacés

Trains, amours et crustacés
AMCHI
3

Le train de l'ennui

Je ne suis pas un grand fan des films gentillets et niais mais j'aime bien les comédies légères avec Doris Day qui ont un charme désuet et bon enfant nous mettant de bonne humeur mais ici si Trains,...

le 17 janv. 2017

Du même critique

As Bestas
Cinephile-doux
9

La Galice jusqu'à l'hallali

Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...

le 27 mai 2022

75 j'aime

4

France
Cinephile-doux
8

Triste et célèbre

Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...

le 25 août 2021

73 j'aime

5

The Power of the Dog
Cinephile-doux
8

Du genre masculin

Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...

le 25 sept. 2021

70 j'aime

13