Film a public (très) restreint.
Film difficile à comprendre. Je suis partie 20 minutes avant la fin impossible de tenir plus. NB: Je n'ai aucun préjugé anti trans.
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le 17 avr. 2025
Au début des années 2000, Daniel Burman représentait une valeur sûre dans le cinéma argentin, au rayon des comédies juives douces-amères. Après une éclipse de 8 ans sur grand écran, son retour avec Transmitzvah ne crée certes pas l'événement mais suscite une réelle curiosité, si l'on se passionne pour le cinéma latino-américain, surtout au vu de son sujet, qui n'est pas tant la transition sexuelle mais davantage la recherche identitaire, marquée ici par le poids des traditions religieuses. Ainsi, l'héroïne du film, chanteuse pop spécialiste des vieilles chansons yiddish, née garçon, et qui a refusé de faire sa bar-mitzvah, cherche t-elle sa voie, tout en ayant perdu sa ... voix. Il est difficile de se connecter au long métrage, non pas à cause de son thème mais pour son traitement, difficile à définir entre surréalisme, comédie musicale, fantaisie et drame. L'histoire prend des raccourcis et abandonne certaines pistes pour se rendre à une conclusion sans aucun doute extravagante mais finalement assez satisfaisante, eu égard à son cheminement pour le moins erratique. Pour nuancer le constat général teinté de déception, signalons tout de même que l'interprétation de Pénélope Guerrero, actrice trans espagnole, est tout à fait impeccable.
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le 6 févr. 2025
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