On l’attendait avec un peu de crainte et malheureusement, Tron Ares délaisse l’aura digitalo-mystique de ces prédécesseurs pour se fondre dans un divertissement bien plus bas du front et terre-à-terre.
Le choc avec le réel et le peu de temps passé dans l’univers digital oblitèrent tout projet de cyber-opera planant, oubliant les voyages hallucinés à laquelle nous avait habitués la franchise pour revenir sur une intrigue assez banale dans le genre, que l’on a déjà vu ailleurs en bien mieux, et menée par un acteur superstar définitivement à côté de ses pompes.
Il y a bien ça et là quelques passages qui sauvent le tout de la médiocrité, tout comme la musique de Nine Inch Nails vous suivra après le film, mais il faut bien avouer que l’aura de cette saga résolument insolite vient d’en prendre un sacré coup, pour un résultat tristement banal.
Critique complète sur CloneWeb.net