Un train de nuit pour Lisbonne (Bille August, 2013) avait tout pour m’embarquer : une quête existentielle, un décor envoûtant, un casting solide. Et pourtant, rien n’a vraiment pris.
Le film, trop cérébral, peine à faire vibrer. Jeremy Irons est impeccable, mais distant. Lisbonne est belle, mais figée. L’histoire ? Elle donne à penser, pas à ressentir. Un voyage qui se voulait profond, mais qui reste froid et sans vie.
Le potentiel est là, mais jamais incarné. Une œuvre qui observe la vie plutôt que de la faire battre.
Note : 3.5/10 — Pour le manque d’émotion et l’élan retenu.