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My dear hunter
Avec voyage au bout de l'enfer, l'occasion nous est d'emblée offerte de revenir sur le désastre que peut constituer un titre français par rapport a l'original (désastre qui peut s'appliquer aux...
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le 10 mars 2011
154 j'aime
8
Une petite Roulette russe ?
The Deer Hunter est un film à propos des conséquences terribles de la guerre sur les hommes, conséquences autant physiques que psychologiques.
En trois parties (la dernière s'éternisant un chouilla à mon goût), Cimino dépeint l'avant, le pendant, et l'après-Vietnam pour un groupe d'amis et leurs proches. Les effets du conflit seront différents sur chacun et le pouvoir destructeur d'une guerre est bien rendu, notamment grâce à la première partie qui prend le temps d'introduire les personnages et de nous faire connaître leur quotidien, entre mariage, bar miteux et partie de chasse.
Les scènes-clef pour moi : celle du piano (une nocturne de Chopin avant le départ, qui cristallise l'inquiétude) - la première roulette Russe (au Vietnam, on n'entend que le bruit de l'arme et on est aussi tendu que les prisonniers qui attendent leur tour) - Nick (C. Walken) en larmes à l'hôpital de Saigon.
Réussi, mais un peu longuet. J'aurais très bien accepté qu'on ne nous montre pas le devenir de l'ensemble des protagonistes, être laissée dans le doute comme ont du l'être pas mal de proches à cette époque...
En trois parties (la dernière s'éternisant un chouilla à mon goût), Cimino dépeint l'avant, le pendant, et l'après-Vietnam pour un groupe d'amis et leurs proches. Les effets du conflit seront différents sur chacun et le pouvoir destructeur d'une guerre est bien rendu, notamment grâce à la première partie qui prend le temps d'introduire les personnages et de nous faire connaître leur quotidien, entre mariage, bar miteux et partie de chasse.
Les scènes-clef pour moi : celle du piano (une nocturne de Chopin avant le départ, qui cristallise l'inquiétude) - la première roulette Russe (au Vietnam, on n'entend que le bruit de l'arme et on est aussi tendu que les prisonniers qui attendent leur tour) - Nick (C. Walken) en larmes à l'hôpital de Saigon.
Réussi, mais un peu longuet. J'aurais très bien accepté qu'on ne nous montre pas le devenir de l'ensemble des protagonistes, être laissée dans le doute comme ont du l'être pas mal de proches à cette époque...
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Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Les films qui sont tip top (enfin, surtout pour l'casting) et Au ciné en 2013
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le 21 févr. 2013
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