Deux naufragés sur un radeaux, la mer tangue au point que Chuck Jones et sa folie fait remuer la mer à vous en donner le "mal de mer". Déjà rien que là on commence à sourire. Le rire vient ensuite du fait que les naufragés ont terriblement faim et les sensations de cannibalisme se mettent au milieu. Mais voilà qu'un bout de terre se profile à l'horizon, mais ils ne sont pas seul. Bugs est là ! Hilarant de le voir danser, et il parle même l’indigène...
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste (( Courts-métrages cartOon Wαrηєr
Créée
le 13 mars 2016
Critique lue 205 fois
Du même critique
Mon premier long-métrage de Jean-Pierre Mocky et j'ai passé un moment divin. Le personnage de Bourvil, fils d'une famille aristocrate et catholique, vivant dans un appartement vide, sans argent, tout...
Par
le 24 août 2016
6 j'aime
Chapeau bas, Mr Tarantino ! "Jackie Brown" prend tout son temps, adapté au biorythme de protagonistes bien cassés par la vie (la plus jeune, Mélanie plane en permanence, ce qui revient au même)...
Par
le 11 août 2015
6 j'aime
Alors le titre du film colle carrément, je garderais toujours en mémoire la folie qui s'y dégage, c'est du pur burlesque comme on en voit plus. Du début à la fin c'est du délire non-stop, courses...
Par
le 30 août 2016
5 j'aime
5
