Les événements racontés par ce film se déroulent dix ans après ceux liés à l'attaque de X-Men Apocalypse. Depuis cette date, les X-Men sont devenus des héros nationaux. Le professeur Charles-Xavier (James McAvoy) se retrouve en couverture du magazine Time. Suite à une intervention des X-Men pour sauver les astronautes de la navette spatiale pris au piège d’une énergie inconnue, l’une des X-Men, Jean Grey (Sophie Turner), au lieu d’être détruite par cette force voit ses pouvoirs tellement augmentés qu’elle devient Dark Phoenix. En lutte avec cette force sur laquelle elle n’a aucun contrôle, Jean tue Raven (JenniferLawrence) qui s’opposait à elle et tombe sous l’influence d’une entité étrangère à la Terre, Vuk (Jessica Chastain), qui veut s’emparer de ses pouvoirs.


Lors de cette confrontation qui met en péril la survie des X-Men, Charles-Xavier et Erik (Michael Fassbender) uniront leurs forces pour lutter contre Dark Phoenix, le premier, qui se sent responsable de ce qu’elle est devenue, tentant de la raisonner alors que le second, désireux de se venger de la mort de Raven, s’allie à Hank (Nicholas Hoult) pour la détruire.


Mais ni l’un ni l’autre n’y parviendra et Dark Phoenix prendra son envol… pour le meilleur et pour le pire.


Mon opinion sur ce film


Comme pour la saga Terminator, ou Captain America, j’ai découvert très tardivement celle des X-Men Je leur ai trouvé beaucoup plus de profondeur que ce à quoi je m’attendais. Si l’on excepte les scènes d’affrontements et les effets spéciaux surabondants (sans parler de la musique, insupportable !) ce dernier film n’échappe pas à ce jugement. Le début commence dans les années 50 par un accident de voiture. La jeune Jean est en voiture avec son père et sa mère. N’aimant pas la musique qui passe sur l’autoradio, elle change de station par la pensée. Sa mère qui conduisait, surprise en découvrant le pouvoir de sa fille, fait une embardée et la voiture se retourne. La mère est tuée. Jean est recueillie par le professeur Charles-Xavier et intègre l’école des mutants. Cette partie-là s’apparente plus à un film intimiste qu’à un film de super-héros. C’est ce que j’ai préféré. Le reste se laisse toutefois regarder même si je me suis surpris à regarder plusieurs fois l’heure en approchant de la fin. Bon divertissement cependant.

Roland Comte

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