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Elle est de retour
Imaginez jouer à Amnesia, mais sans l'horrible monstre qui hante la maison, qui vous poursuit et vous tue. Imaginez jouer à Bioshock, mais sans cet affreux système de combat répétitif et...
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le 15 août 2013
33 j'aime
Gone Home par Gaor
Une expérience audacieuse et astucieuse, beaucoup moins prétentieuse qu'un Dear Esther (qui reste tout de même infiniment plus sexy). Attention, ça ne reste qu'un simple récit interactif, mais il est suffisamment malin pour susciter des sensations très diverses. Voici tout ce qu'il vous faut savoir avant de commencer : par une nuit d'orage, une jeune fille rentre d'un voyage en Europe dans la nouvelle maison de ses parents... et personne n'est là pour l'accueillir. N'en lisez pas plus, nulle part. Si le pitch vous intrigue et que vous ne craignez pas d'ouvrir des tiroirs et allumer des lumières pour découvrir des notes/lettres éparpillées partout artificiellement, téléchargez.
Contrairement à beaucoup, je n'ai pas été subjugué par l'ambiance 90ies, le jeu étant techniquement limité et artistiquement d'un goût douteux. Mais bon, selon le générique de fin, ils sont quatre chez The Fullbright Company (dont trois développeurs ayant bossé sur BioShock)... Reste qu'à 17 balles l'expérience de deux heures, on a un peu mal aux sphincters.
Contrairement à beaucoup, je n'ai pas été subjugué par l'ambiance 90ies, le jeu étant techniquement limité et artistiquement d'un goût douteux. Mais bon, selon le générique de fin, ils sont quatre chez The Fullbright Company (dont trois développeurs ayant bossé sur BioShock)... Reste qu'à 17 balles l'expérience de deux heures, on a un peu mal aux sphincters.
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le 18 août 2013
Modifiée
le 18 août 2013
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