Un jeu qui, comme son nom l’indique, permet de gérer, comme dans les films, son propre parc de dinosaures. Le but est évidemment de faire naître des dinosaures (une trentaine d’espèces différentes environ dans la version de base) pour que le public vienne en masse dans votre parc, ce qui vous permettra de vous faire gagner un maximum de pognon pour améliorer votre parc, etc.


Le chemin sera long… Vous commencez sur la première île et il faudra faire ce qu’il faut pour débloquer, au fur et à mesure, les quatre autres îles au menu (pour quatre fois plus de plaisir).


Dans le genre chronophage et addictif, si on accroche au jeu bien entendu (ce qui est mon cas), il se place bien. Il est plutôt (trop ?) simple à prendre en main. Il est vraiment très beau visuellement (les blessures des dinos au combat, par exemple, sont assez réussies) même s’il n’est pas exempt de quelques bugs. Il n’est en effet pas rare qu’un dinosaure en traverse un autre. On se rend vraiment compte de la beauté du jeu quand on est dans la jeep des gardiens du parc.


Il y a beaucoup de choses à faire (recherches, fouilles, contrats à honorer, s’occuper du bien-être et de l’estomac des dinos) et il est assez fun, surtout quand il s’agit de devoir prendre certaines photos afin de promouvoir le parc. Puis, voir son premier dino être lâché dans son enclos est assez émouvant. En revanche, n’ayant aucun skill au clavier, conduire la jeep pour aller visiter ou réparer le parc est assez… aléatoire.


Au rayon négatif, il manque peut-être des interactions plus poussées avec le public (qui au passage est assez bien modélisé) et un niveau global un peu plus difficile. La gestion devient un peu répétitive à un moment donné, ce qui pourrait décourager beaucoup de monde (tout comme son prix assez élevé). Vous pouvez également renommer les bâtiments mais aussi les dinosaures eux-mêmes. Vous pouvez tous les appeler Jean-Patrick si vous le désirez. Enfin, retrouver Ian Malcolm dans le jeu est assez plaisant. Si vous accrochez à ce jeu, vous y passerez des heures et des heures…

OskarNewon
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le 17 juin 2018

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