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Une décennie plus tard
Virage à 180° Oui, voilà 10 ans que le tout premier Red Faction est sorti, sur PS2, déjà développé par le studio américain Volition et éditée par le géant THQ. A l'époque les développeurs...
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le 28 juin 2011
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En se mouillant à tout les genres, la série Red Faction nous montre qu'elle a du mal à trouver sa place. Après le FPS puis le GTAlike on se retrouve la série Red Faction avec un TPS.
Seulement voilà; entre son scénario minable, son héros inutile et ses insupportables blagues pourries et ultra convenues, Red Faction :Armageddon nous demande très fort de le détester.
Mais ! La possibilité de complètement détruire/reconstruire les décors sauve RF:A de la fosse du mépris.
Malgré le coté très couloir du jeu, on s'éclate vraiment à tout faire péter, pourvu que l'on joue le jeu et que l'on s'équipe en conséquence.
Pas très difficile, un peu trop long (des phases de véhicules très passable) et parfois franchement trop sombre (pas le scénario hein, juste les grottes), RF:A a malgré tout une dynamique de combats suffisamment bien pour ne pas nous faire regretter de l'avoir acheté un jour de solde sur Steam le maudit. On oublie le scénario censé faire tenir tout ça, on arrête d'écouter les dialogues et on trip.
(Sinon, quand on a fini le jeu, on débloque un poney qui chie un arc en ciel avec des étoiles qui tue les ennemies. Trop délire...)
Seulement voilà; entre son scénario minable, son héros inutile et ses insupportables blagues pourries et ultra convenues, Red Faction :Armageddon nous demande très fort de le détester.
Mais ! La possibilité de complètement détruire/reconstruire les décors sauve RF:A de la fosse du mépris.
Malgré le coté très couloir du jeu, on s'éclate vraiment à tout faire péter, pourvu que l'on joue le jeu et que l'on s'équipe en conséquence.
Pas très difficile, un peu trop long (des phases de véhicules très passable) et parfois franchement trop sombre (pas le scénario hein, juste les grottes), RF:A a malgré tout une dynamique de combats suffisamment bien pour ne pas nous faire regretter de l'avoir acheté un jour de solde sur Steam le maudit. On oublie le scénario censé faire tenir tout ça, on arrête d'écouter les dialogues et on trip.
(Sinon, quand on a fini le jeu, on débloque un poney qui chie un arc en ciel avec des étoiles qui tue les ennemies. Trop délire...)
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Écrit par
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste FPS/TPS 8h-one.run-qui tabassent pas mais qui font le boulot.
Créée
le 12 août 2012
Modifiée
le 12 août 2012
Critique lue 235 fois
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