Resident Evil: Village
7.2
Resident Evil: Village

Jeu de Capcom (2021PlayStation 4)

Un conte noir stupéfiant qui présente une foire aux montres cinématographique extraordinaire


Le Village des ombres (part1):
Il y a bien longtemps, une petite fille s'en alla avec sa mère cueillir des baies pour son père qui travaillait d'arrache-pied. Mais la forêt les accueillit avec un silence froid et pesant. Les buissons étaient vides. Déterminée à trouver des baies, la petite canaille lâcha la main de sa mère et disparut entre les arbres. Les cris inquiets de sa mère s'estompèrent rapidement à mesure que la fillette courait, s'enfonçant de plus en plus dans la forêt. Commençant à se sentir observée, elle se rappela les histoires effrayantes qui lui contait sa mère, et sa gorge devint toute sèche...



Resident Evil : Village, développer par Capcom, en tant que huitième épisode de la saga référence du survival/horror à succès qui compte encore plus d'épisodes secondaires, revient dans une suite directe à Resident Evil 7 : Biohazard, et on peut dire qu'on est récompensé de l'attente. Village est un jeu d'horreur de survie de premier ordre qui parvient à retranscrire une atmosphère horrifique magistrale continuellement en mouvance alternant action violente avec ambiance lugubre et angoissante qui terrifie à mesure que progresse l'intrigue avec quelques trous dans l'angoisse pour mieux reprendre son souffle avant d'y replonger.


L'histoire peut sembler redondante puisque la plupart des énigmes du récit principal sont assez faciles, reprenant une partie de l'esprit du septième opus puisque l'on replonge dans un drame déchirant entourant Ethan Winters et sa famille qui va cette fois-ci se lancer non pas à la recherche de sa femme Mia, mais de sa fille "Rose". Néanmoins, en matière de suite Village est considérable, se raccordant parfaitement avec Biohazard, mais également avec les premiers épisodes de la franchise puisqu'enfin on sait d'où vient l'élément qui a conduit Oswell E. Spencer le futur président d'Umbrella Corporation, l'importante société fabricante d'armes biologiques se cachant derrière une façade pharmaceutique, à créer Umbrella Corporation. On pensait que tout venait de la découverte du "Virus Progenitor" durant les années 50 par Oswell E. Spencer, mais finalement c'est bien plus compliqué que cela, une proposition intelligente qui boucle efficacement la boucle en créant un lien indéniable. Village est une agréable surprise autant dans la forme que dans le fond avec un aspect scénaristique poignant et cruel qui fait que je me suis rapidement retrouvé engagé avec l'histoire. Une histoire qui commence par un conte d'épouvante saisissant d'une importance cruciale avec tout ce qui viendra et qui d'emblée captive notre attention et fait qu'on veut toujours en savoir plus.


La portée environnementale est grandiose et saisissante, contribuant à augmenter l'horreur à mesure que l'on passe d'un décor à un autre. Tout du long on gravite dans un petit cadre illustré par un petit village enneigé perdu au milieu de nulle part qui allie des paysages funèbre, macabre, étouffant, avec de nombreux panoramas gigantesques provenant de plans particulièrement captivants. Le village ne dispose jamais d'une maison, d'un terrain, où encore d'un agencement de décors qui ne semblent pas être à sa place. Tout est minutieusement contextualisé avec un village qui se présente comme un puzzle géant alliant quelques casse-tête bienvenue qui vont nous perdre dans certains endroits ce qui fait qu'on sera obligé de repasser à plusieurs reprises dans des lieux, rappelant un peu la difficulté du tout premier Resident Evil. Des graphismes de toutes beautés, avec des concepts arts de haut niveau qui démontrent le niveau de la qualité graphique avec une conception sonore inquiétante magistralement additionné à un éclairage phénoménal ainsi qu'une bande sonore tip-top qui seront à l'origine d'un climat atmosphérique frappant qui conduira le joueur à ne jamais être trop confiant dans les divers environnements traversés.


Parmi les habitations il y en a beaucoup que je retiens comme : les vieilles maisons en pierre dans les bois avec le grand moulin qui surplombe le cimetière, ainsi que les ruines des quatre rois (les fondateurs du village) réunis autour du calice; L'étonnante porte géante sur laquelle on peut voir un démon affronter une jeune fille et qui mène au stupéfiant et effrayant château de Dimitrescu qui est bourré d'oeuvres d'art fascinantes avec de nombreuses statues et autres fresques en relief comme avec la salle d'ablutions, la tour du culte... Sans oublier sa foutue cave à vins dans laquelle on va vivre des moments angoissant; La vallée brumeuse qui mène à la terrifiante maison de Beneviento avec son apparence tout droit sortie d'un film d'horreur dans laquelle on va passer les moments les plus éprouvants du jeu; La forteresse délabrée, qui sert de repère pour les lycans, un lieu stupéfiant à l'origine du plus gros affrontement de cet opus... Tant d'environnement d'une variété stupéfiante qui conduira Ethan Winters (et donc les joueurs) à graviter dans un cercle épuisant qui créera un sentiment d'appréhension continuellement perceptible. Les amateurs de beaux graphiques remarqueront les nombreux autres petits détails que l'on peut retrouver dans des objets magnifiés.


Le gameplay est stimulant et pratique d'accès avec quelques nouvelles possibilités comme dans les créations de munitions et autres armes, mais aussi à travers les diverses cartes. La vue subjective et l'absence d'un membre phare de la licence (en matière de joueur principal) font que je ne serait jamais pleinement satisfait, mais le rendu final reste efficace. De nombreuses armes sont mis à disposition comme avec le couteau de survie , le pistolet LEMI, le pistolet M1911, le pistolet V61, le fusil M1897, le fusil W870 TAC, le fusil SYG-12, le fusil F2, le lance-grenades GM 79, le magnum M1851 Wolfsbane, le magnum S.T.A.K.E. On retrouve aussi des armes spéciales comme le couteau Karambit de Chris (qui déchire un max), le fusil d'assaut WCX, le pistolet semi-automatique USM-AI, le fusil d'assaut Dragoon et le pistolet Handcannon PZ, le pistolet lance-roquettes et le LZ Answerer. Il est très appréciable de constater que bien qu'il y est un nombre non négligeable de munitions, elles ne sont clairement pas éternelle c'est pourquoi il faut garder un oeil constant dessus pour ne pas se retrouver en bien triste posture avec seulement son couteau. Le jeu n'est pas particulièrement difficile (tout dépend du niveau de difficulté) mais on se retrouve quelques fois devant des séquences particulièrement compliquées durant lesquelles on y laissera plus d'une fois la vie. Le doublage Vf est excellent, toutefois, la durée du jeu est un peu trop courte à mon goût, j'ai mis 12 heures pour le terminer.



Le Village des ombres (part2):
...Le seigneur des chauve-souris apparut. Il la salua chaleureusement et se mordit l'aile. "Viens, mon enfant. Etanche ta soif", dit-il. Elle but son sang noir et épais, et sourit de bonheur. Tandis qu'elle traversait un cimetière, des nuages menaçants recouvrirent le ciel, et l'air se glaça soudain. Maîgrement vêtue, l'enfant frissonnait. Mais un tisserand sombre apparut, et d'un claquement de doigts, il transforma la brume en une robe magnifique. "Viens, mon enfant, réchauffe-toi", dit-il. Elle enfila le vêtement et sourit de bonheur...



Qui dit Resident Evil, dit monstres et autres armes biologiques et pour Village on est particulièrement bien servie (mieux que dans Biohazard) avec une variété de créatures importantes qui sont terrifiants les unes des autres et propulse par la même Resident Evil dans un autre level d'antagoniste. En grande nouveauté que j'adore, on retrouve comme monstre récurrent des lycans (créer biologiquement), ils sont dotés d'une intelligence et d'une mobilité qui les rendent particulièrement dangereux, robustes et rapides, ils diffèrent totalement des zombies, ou autres Majini et Ganados. Lorsqu'ils sont nombreux, il est difficile de les affronter de face ce qui fait qu'on est souvent obligé de ruser, sachant qu'ils peuvent vous attraper à travers les murs, les toits, ou encore les planchers, ce qui ajoute une difficulté supplémentaire totalement bienvenue. Leur design est excellent avec un côté bestial qui scié parfaitement à la violence qu'ils dégagent ainsi qu'une variété physique bluffante. Les lycans promettent de vous faire transpirer plus d'une fois. Le chef des lycans Urias qui est l'ancien chef du village en impose un max et vous promet un affrontement épique.


On retrouve également en monstre récurrent le Vârcolac (créature féroce dérivée d'un lycan qui ressemble à un grand fauve enragé), la Moroaica (des femmes esclaves transformées par Dimitrescu qui sont entre des zombies et des Majini), la Samca (créatures volantes à la longue langue qui sont également initialement des femmes transformées par Dimitrescu), le Hauleur (croisé de Moroaica avec technologie) et enfin ces foutus Soldats Eins, Zwei, Jet, Panzer et Sturm (mi-lycan, mi-machine qui possèdent des réacteurs à combustion d'énergie dans lequel est enfermé un parasite) qui sont chiant à tuer.


Vient enfin le Mégamycète, un énorme amas de parasites ayant évolué durant des centaines d'années au centre d'un réseau de moisissure qui est finalement à l'origine de tout, jusqu'à la création du parasite "Cadou", mais aussi et surtout de la création du fameux virus "T" et "G", ainsi que de tout ce qui viendra plus tard. Le Mégamycète est à l'origine de la première création supérieure immortelle avec "Mère Miranda", une gouroue capable de prendre l'apparence qu'elle désire et de contrôler la moisissure. Elle est la monarque du village depuis plus de 200 ans, à la tête des quatre nobles qu'elle considère comme ses enfants. En tant que figure emblématique du mal, Miranda est un personnage emblématique qui fait plaisir car elle apporte beaucoup de nuance et de dramatisme à travers un véritable objectif final. La transformation de Miranda fait froid dans le dos, un mélange entre un ange noir et un démon aux longs doigts crochus. Miranda est représentée par un emblème de plumes de corbeau qui ressemble étroitement au futur logo d'Umbrella. La confrontation finale contre celle-ci a de quoi tenir en haleine, je suis mort pas mal de fois avant de réussir à lui porter le coup fatal. Miranda est certainement le meilleur antagoniste principal d'un Resident Evil après le mythique Albert Wesker.


On a droit à nouveau vendeur d'armes incarné par un personnage incroyable : "le Duc." Protagoniste énigmatique qui tout du long vous conseille en plus de vendre du matériel, des armes et de vous racheter des objets précieux. J'adore ce personnage imposant qui possède un design remarquablement bien foutu. J'espère qu'on retrouvera le Duc dans le 9, mais vu l'approche mystérieuse de celui-ci, je ne serais pas étonné d'apprendre qu'il deviendra un futur antagoniste de taille qui pour le moment nous file un coup de main par intérêt commun.



Le Village des ombres (part3):
...Elle navigua sur des eaux profondes et sinistres à bord d'un bateau qui, espérait-elle, la ramènerait chez elle. Mais la faim resserra son emprise et son coeur s'alourdit. C'est alors que le roi des poissons apparut et lui offrit l'une de ses nageoires. "Viens, mon enfant. Remplis ton estomac." La fillette mangea et sourit encore une fois de bonheur. Continuant sa route, elle atteignit bientôt le coeur sombre de la forêt. Là, un destrier de fer apparut, paré d'un magnifique rouage en or. La créature ne dit rien quand la fillette s'approcha pour saisir ce qu'elle pensait être un autre cadeau. Le cheval se mit en colère et appela les autres monstres. Le coeur de la petite fille s'emplit de peur alors qu'un vent féroce se leva autour des créatures...



Les différents boss du jeu sont incarnés par les excellents quatre nobles : Dimitrescu, Donna, Moreau et Heisenberg qui sont tous représentés par un emblème différent. Chacun d'eux apporte beaucoup de relief au récit ainsi qu'à l'action proposer à travers des caractères différents qui se combinent intelligemment avec à chaque fois un changement de ton surprenant dans l'ambiance ainsi que le gameplay lorsqu'on passe sur le territoire de l'un ou de l'autre. De véritables boss que l'on prend plaisir à affronter que je présente par ordre d'affrontement :



  • Alcina Dimitrescu s'affiche comme une femme magnifique aux généreuse proportions qui fait directement référence à la légende de Hasshaku-sama (la dame haute de huit pieds, ce qui explique sa grande taille) mais aussi référence à un vampire. Une baronne imposante vêtue à la mode des années 1960 avec une magnifique robe blanche, un chapeau noir, des gants noirs ainsi que trois roses noires illustrant les 3 filles de celle-ci : "Bela", "Cassandra" et "Daniela Dimitrescu". La transformation de Dimitrescu s'inspire clairement de Dracula le fils dragon, puisqu'en tant que "dérivé vampire biologique sous l'influence du Cadou", elle prend l'apparence d'un énorme dragon lorsque celle-ci n'absorbe plus suffisamment de sang. Alcina Dimitrescu se nourrit des hommes et les laisse pour mort alors qu'elle transforme toutes les femmes en esclave Moroaica et Samca. La baronne est représentée par l'emblème d'une fleur avec une croix. Alcina est mon noble préféré, j'ai adoré toute la confrontation l'entourant ainsi que ses 3 filles. Toute la partie dans le château offre un moment mémorable.


  • Donna Benneviento possède un design formidable, elle est représentée comme un fantôme en partie dévoré par le parasite du Cadou au niveau d'un oeil. Elle est habillée d'une tenue mortuaire noire. Donna manipule dans l'ombre "Angie" une poupée habillée d'une robe de mariée qui fait clairement référence à Annabelle. Donna est représentée par l'emblème de la lune et du soleil en réponse entre la noirceur de celle-ci et à la clarté d'Angie. Toute la partie situé dans le domaine de Donna, dans l'atelier de mannequins est ultra flippante. Un moment difficile à passer dans lequel on serre allègrement les fesses autour de toutes les poupées possédées ainsi que du nouveau-né énorme et atroce enfanté par le mannequin de Mia. Tout le gameplay entourant le chapitre de Donna est tel une enquête paranormale.


  • Moreau illustré par l'emblème de la sirène en tant qu'homme-poisson répugnant gravement touché par le parasite du Cadou est le plus repoussant et écoeurant des nobles, il aime profondément sa mère "Dame Miranda" et à peur qu'elle le délaisse. Moreau est inspiré du Kappa, monstre appartenant au folklore japonais, mais aussi au fameux docteur Moreau (L'Île du docteur Moreau) en tant que créateur du Cadou, parasite imparfait à l'image des créatures du docteur Moreau. Sa transformation est innommable tant elle est abjecte et dégoûtante.


  • Karl Heisenberg représenté par l'emblème du cheval en rapport aux échecs puisque le cheval est changeant, capable de prendre n'importe quelle direction et prendre à revers tout le monde, ce qui explique qu'il veut tuer sa mère et prendre sa place, est le plus puissant des 4 nobles. Heisenberg est un personnage qui s'inspire du docteur Frankenstein. Il est à la tête d'une usine qui produit en série des expérimentations mélangeant les créatures provenant des autres nobles, ainsi que du Cadou à des machines afin de créer la meilleure des créatures de combat. Il fait également référence à la créature du Frankenstein en tant que monstre qui se rebelle contre son créateur incarné par Dame Miranda. La confrontation contre Heinsenberg est explosive, par contre j'ai détesté le chapitre dans son immense usine.



Pour ce qui est des personnages principaux, on retrouve Ethan Winters qui ici trouve un meilleur background accompagné de Mia et de leur bébé "Rose". Je maintiens une fois de plus que de voir son personnage aurait été beaucoup mieux. On découvre lors de la séquence d'après générique le personnage de Rose qui est devenu une jeune adulte au cours d'une séquence importante qui laisse entrevoir le futur Resident Evil 9. Elle ressemble beaucoup à Évelyne, l'antagoniste de Biohazard. Arrive finalement mon personnage préféré de toute la saga Resident Evil : "Chris Redfield" à la tête de l'escouade Hound Wolf. Quel bonheur de pouvoir jouer avec lui, même si la séquence est bien trop courte, j'aurai adoré que tel que Devil May Cry 4, Chris soit utilisable plus longtemps comme pour Dante, suffisamment pour faire quelques boss de jeu avec lui pour mieux laisser réapparaître le héros principal. La finalité de Resident Evil 8 : Village, amène une conclusion à la hauteur pour chacun des personnages et une envie de découvrir la future suite.


CONCLUSION :


Resident Evil 8 : Village, est un excellent jeu qui réussit brillamment à transcender les codes usés de cette licence à travers un jeu qui n'est pas parfait, mais présente des qualités et des avantages qui l'emportent allègrement sur les inconvénients. Après douze heures de jeu, le constat est sans appel : Resident Evil 8 Village est une expérience d'horreur à la hauteur de mes attentes qui présente un conte noir médiéval qui propose avec crédibilité une association remarquable entre Résident Evil et des créatures mythiques comme les lycans, les vampires, Dracula, les poupées diaboliques possédées, Annabelle, les esprits, la dame haute de huit pieds, le Kappa, le docteur Moreau, le docteur Frankenstein ainsi que sa créature... C'est génial !


Moins flippant que Resident Evil 7, mais beaucoup plus inspiré, généreux et dramatique que celui-ci.



Le Village des ombres (part4):
... Soudain vint une sorcière ténébreuse, mais majestueuse. "Plus on t'en donne, plus tu en veux", grogna-t-elle. "Maintenant, nous réclamons notre dû." En un instant, la fillette fut emprisonnée dans un miroir. Heureusement, ses parents qui n'avaient cessé de la chercher, finirent par arriver. Avec une rage débordante, son père affronta la sorcière tandis que l'amour de sa mère brisa le maléfice. Mais la sorcière était puissante. Le père cria : "Sauve notre fille !" La mère mit donc l'enfant en lieu sûr, pendant que la forêt brûlait. Aujourd'hui encore, cette forêt calcinée est un triste rappel du sacrifice du père. On dit même que les enfants qui regardent trop longtemps cette terre carbonisée seront à jamais hantés par le cauchemar de se perdre en cueillant des baies.
FIN.


B_Jérémy
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le 9 mai 2021

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