Quel meilleur moyen de découvrir la Switch que de jouer à Super Mario Odyssey, le nouveau jeu de la franchise culte ?
On reprend donc le contrôle de l’ex-plombier (si si, il a donné sa démission, c’est écrit dans sa biographie officielle !) qui va, une nouvelle fois, devoir sauver Peach de Bowser, qui prépare son mariage avec elle. Et ceci en voyageant à bord de L’odyssey qui nous fera faire le tour du monde, et en étant accompagné de Cappy, un mystérieux fantôme…
Cappy qui est l’élément de gameplay principal du jeu. En effet, celui ci peut prendre possession d’un tas de chose. Niché dans la casquette de Mario, il sera utile si on lance celle-ci sur un objet ou un ennemi puisque l’on pourra ainsi s’en servir pour progresser. Cela permet au jeu de proposer tout un tas de gameplay et d’énigmes bien fichu, s’ajoutant aux mouvement habituels du personnage. On peut donc toujours sauter, glisser, courir, dans des niveaux en 3D plus ou moins inspirés, et variés. Car en effet, le seul regret du jeu viendra de quelques niveaux pas franchement réussit (la forêt, le niveau des grattes-ciels…). Car pour le reste, on ne peut rien reprocher à un titre techniquement bien fichu, et au gameplay millimétré.
Si le titre se termine en moins de 10 heures, il faudra batailler bien plus longtemps pour obtenir les 999 lunes (même si certaines sont clairement du remplissage) et donc débloquer l’intégralité des surprises du jeu. Et cela représentera un bien plus grand défi. Personellement, j’ai dépassé les 50 heures de jeu sans pour autant le finir a 100%. On a donc largement de quoi faire pour un jeu qui frôle la perfection. Et qui en plus se met à jour de temps en temps avec de nouveaux défis. Un vrai plaisir !