Assassin's Creed II
le 11 nov. 2012
Réconciliation
Certains de mes éclaireurs le savent bien et je ne dirais jamais assez : j'ai vraiment détesté le premier Assassin's Creed. Même si j'ai mis 4/10 pour saluer l'effort sur les graphismes et...
SensCritique a changé. On vous dit tout ici.
Qui trop embrasse mal étreint
N'y allons pas par quatre chemins, Assassin's Creed 2 reprend les bases classiques d'un GTA auxquelles on a ajouté un guide historique de la Renaissance italienne, le tout saupoudré d'un zeste d'ésotérisme façon Dan Brown (pas vraiment convainquant par ailleurs).
La difficulté pour les jeux en monde ouvert c'est qu'ils sont par nature la synthèse de plusieurs genres. Et c'est là ou le bâs blesse avec AC2 : on retrouve beaucoup de choses, de la plateforme, de l'infiltration, de l'exploration, de la gestion, du « beat them all », de la course, des puzzles et des énigmes mais aucun de ces gameplay n'est réellement développé ce qui rend le jeu peu profond et relativement ennuyeux sur la durée.
C'est domage car AC2 bénéficie d'une réalisation de haut niveau grâce notamment à la modélisation impressionnante des cités de Florence et Venise.
L'aventure reste malgré tout plaisante à jouer (je conseille vivement la version Italienne pour une meilleure immersion), les différents éléments et les missions s'enchainent de manière assez fluide au commande d'un Ezio Auditore à l'animation quasi-parfaite.
La difficulté pour les jeux en monde ouvert c'est qu'ils sont par nature la synthèse de plusieurs genres. Et c'est là ou le bâs blesse avec AC2 : on retrouve beaucoup de choses, de la plateforme, de l'infiltration, de l'exploration, de la gestion, du « beat them all », de la course, des puzzles et des énigmes mais aucun de ces gameplay n'est réellement développé ce qui rend le jeu peu profond et relativement ennuyeux sur la durée.
C'est domage car AC2 bénéficie d'une réalisation de haut niveau grâce notamment à la modélisation impressionnante des cités de Florence et Venise.
L'aventure reste malgré tout plaisante à jouer (je conseille vivement la version Italienne pour une meilleure immersion), les différents éléments et les missions s'enchainent de manière assez fluide au commande d'un Ezio Auditore à l'animation quasi-parfaite.
6
Écrit par
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Les jeux PS2/PS3 dont j'ai vu la fin et Sony PlayStation 3
Créée
le 18 janv. 2011
Critique lue 438 fois
D'autres avis sur Assassin's Creed II
Assassin's Creed II
le 28 déc. 2010
Requiescat in pace :3
Asssassin's Creed 2 est un gros gros coup de coeur. Ce n'était pourtant pas gagné d'avance quand l'on connaît la réputation relativement désastreuse du premier. Commençons par délivrer un fait : si...
Assassin's Creed II
le 1 juil. 2010
Critique de Assassin's Creed II par Mickaël Barbato
Voilà le jeu, et même la franchise, à associer avec l'expression "coquille vide". C'est beau, encore que c'est moins coloré que le premier, mais... L'une des choses les plus grisante du jeu-vidéo est...
Du même critique
Into the Wild
le 11 déc. 2010
142
Comme beaucoup, je m'attendait à n'y voir qu'un simple récit contemplatif sur le retour à la nature d'un jeune homme en rupture avec cette vie qu'on avait tracé pour lui. L'esprit et le coeur rempli...
Les Mystères de l'ouest
le 8 oct. 2010
La nuit des mystères de l'Ouest
Pour ce cross-over improbable mélangeant deux agents secrets du gouvernement Américain pendant le Far-West, le président des Etats-Unis (de l'époque) en personne, un méchant très méchant l'inégalable...
Psonic Psunspot
le 1 janv. 2012
Tomorrow never knows
The Dukes of Stratosphear serait une genre d'uchronie où les Beatles auraient creusé le sillon de leur période expérimentale sans opérer le virage plus acoustique de l'album blanc. Derrière ce groupe...
