Assassin's Creed et moi c'est une véritable histoire d'amour. J'ai joué à tout les jeux (sortis sur PC), et je jouerai à tout ceux qui viendront, quand bien même ils continueraient à être de moins en moins bon. (C'est vous dire à quel point je suis bonne pâte.)
Mais ça a beau être une histoire d'amour, je sais quand même rester lucide (un peu). Et quand on cesse de regarder Assassin's Creed Unity avec un regard d'amoureuse transie et ben....


Assassin's Creed Unity a plein de qualités, mais malheureusement il a encore plus de défauts.


Commençons par le bon côté des choses:


Le jeu est magnifique. Bon je suis généralement pas difficile sur ce genre de chose, mais franchement c'est BEAU putain. Tout est joli. Je ne sais pas combien de temps j'ai passé à m'extasier sur la texture du manteau d'Arno (trop probablement) mais Dieu que ce jeu est beau. (Évidemment quand comme moi, on joue sur PC il faut avoir la machine pour faire tourner la bête.)
Dans le même registre mais en un peu différent: la reconstitution de Paris est juste géniale. (Bon moi j'ai trouvé que c'était un peu trop grand, et que parfois quand même ça manquait de point de téléportation - i'm a casual-) ça faisait longtemps que j'attendais un jeu qui se déroule en France, et sur ce point il a tenu ses promesses. j'ai même retrouvé le frisson qui m'avait fait défaut lors des opus précédent, lorsque l'on fait une synchronisation en haut d'un point de vue. Paris est une ville vivante, diverse et non monolithique. (Gros travail de recherche géographique visible ça fait PLAISIR)
Big up pour le retour en milieu urbain (pour moi au coeur de l'expérience Assassin's Creed), la mer et la forêt c'était sympa vite fait mais ça commençait à perdre de son interêt.


Eeeeet... c'est tout ce que j'ai à dire de "ça c'est vraiment bien", ensuite on passe directement au "alors vous avez essayé mais franchement on y est pas encore":


Le personnage principal. C'est ma grande hantise des Assassin's Creed depuis qu'Ezio nous a fait ses adieux. Connor était insipide, Edward pendant la moitié du jeu j'avais envie de lui en coller une, j'ai bien aimé Shay dans Rogue (mais le jeu était juste un peu moisi donc voilà), et du coup arrive Arno et je me dis: Hmmmmmmmm.
Parce que je savais qu'on allait avoir une histoire d'amour à la Roméo et Juliette et honnêtement ça me traumatisait d'avance. J'adore Assassin's Creed, mais les scénaristes ont un peu de mal à rendre crédibles les histoires d'amour (euphémisme bonjour). Soit elles popent comme ça par magie et des enfants surgissent (bonjour Maria/Altaïr! coucou Edward/chaipluqui il épouse ensuite pour vous dire à quel point c'est marquant) soit elles sont d'une maladresse telle que ça en devient presque gênant


(Haytham/Zyo).


Mais Arno a été une plutôt bonne surprise... passé le premier tiers du jeu ou j'avais perpétuellement envie de lui coller une tarte tellement il était lourd. (ça les aurait tués de l'appeler Arnaud?) (Faut dire qu'il n'est pas aidé par le reste du cast mais j'y reviendrai, le scénario est un autre point gris de ce jeu.) Il prend un peu d'épaisseur alors que le jeu avance, mais malheureusement on ne parvient jamais vraiment à dépasser l'archétype de l'amoureux transi un peu dépassé par les attentes de son Ordre, et prêt à toutes les transgressions au nom de l'amûûr. Il a de bons moment avec certains persos historiques, mais il vit quand même dans le passé en ce lamentant sur ce ce qu'il a perdu.(Mais bon c'est toujours mieux que Connor alors je prend.) Je le descend en flèche, mais au fond je l'aime bien Arno, il manque de charisme c'est sur, mais il est sympathique et c'est déjà ça de gagné.


Ensuite vient le scénario. Je ne parle que de celui de l'Histoire principale. (le reste n'a honnêtement aucun sens). L'Histoire n'est pas très compliquée franchement. Mais l'absence TOTALE DE COHÉRENCE me rend folle.


Petit Arno voit son père, un Assassin, se faire tuer par un Templier -Shay Cormac du précédent Opus- et est recueilli par Mr. De la Serre grand Maître de l'Ordre des Templier. (Bon déjà là: WHAT? Il se passe quoi chez les Assassins: vous laissez les Templiers assassiner les vôtres et voler leurs gosses? Osef?) Mr De la Serre a une fille Elise, Arno et elle sont inséparable et finissent inévitablement par tomber amoureux les deux andouilles. Bon le père d'Élise aime bien Arno mais ne voit pas forcément cette alliance d'un super bon oeil, donc ils veille à ce qu'il soient souvent séparé -sympa le paternel-. Le jeu commence donc vraiment à ce moment là et... Arno n'a aucune idée de ce que sont les Templiers et les Assassins. (ce qui me fait dire que le Grand Maître de la Serre est un abruti fini: ils auraient pu former Arno qui ne demandait que ça, mais non, va-z-y mec reste en retrait ça ne sera que plus facile lorsque les Assassins voudront te recruter. -apparemment c'est parce qu'il voulait respecter la mémoire du père d'Arno, mais dans ce cas là, mon pote, il fallait laisser le petiot aux Assassins.).
Le jeu commence donc avec le meurtre de Mr De La Serre. BAM. (prévisible) et c'est Arno qui est accusé du crime. Par Elise. Oui parce que vous comprenez, Arno est le fils d'un Assassin du coup leur romance est impossible et du coup c'est aussi plus ou moins lui qui a du tuer son père. PAYE TA LOGIQUE MEUF. (A ce moment là j'ai vomi du sable tellement le scénar' partait complètement en cacahuète.) Bon Elise doit pas être complètement convaincue de ce qu'elle dit parce qu'au lieu de buter Arno comme tout vengeur digne de ce nom, elle le fait embastiller.
Bref on avance. On est en 1789, Arno malheureux comme les pierres de la Bastilel où il est enfermé se morfond. Mais il fait la rencontre de Bellec (qui ressemble beaucoup trop à Charles dans AC3 à mon goût), personnage au caractère entier (ça veut dire grossier et vindicatif) qui reconnaît en Arno le fils de son vieil ami mort une décennie auparavant. Bellec décide donc de former Arno (c'est pas trop tôt) pour que ce dernier devienne un Assassin. Les choses suivant le cour naturel de l'Histoire la Bastille est prise ce qui permet à Bellec et Arno de foutre le camp en faisant un saut de la foi.
Arno est ensuite recruté par la Confrérie de Paris dont le chef est Mirabeau. On y apprend que les évènements de la Révolution (il me semble) ont poussés Assassins et Templier à conclure une trêve en attendant d'y voir plus clair. (Principe complètement con, les deux ordres sont anti thétiques, une trêve c'est juste le jeu de qui c'est qui va trahir l'autre en premier.). Mirabeau est une bonne pâte (comme moi) et décide d'acceuilir Arno dans la Confrérie. Une décision qui ne fait pas l'unanimité: Arno a été élevé par un Templier (le Grand Maître en plus!), est amoureux d'une Templière (la fille du Grand Maître) et est devenu Assassin par désir de vengeance (pour venger la mort d'un Templier!). Bref à la place de Mirabeau je lui aurai dit: "tu t'es trompé de porte jeune homme". Mais Mirabeau est cool, donc volià Arno est devenu un Assassin. Sa première mission est une véritable aubaine (en vrai c'est juste que Mirabeau est un papy gateau): tuer le responsable de la mort de Mr. De la Serre. Arno le bute et ce faisant découvre que tout ceci est (surprise) un COMPLOT. Il y a un responsable qui dirige tout ça dans l'Ooooombre. Bref. C'est vers ce moment là que moi j'ai perdu le fil de la chronologie. En quelle année étions nous, sous quel régime, qui était les hommes forts à ce moment là? Confusion totale. Et l'histoire qui aurait du être simple devenait inutilement compliquée.
On va sauver un orfèvre, qui s'avérera ensuite être le véritable méchant, le nouveau Grand Maître de l'Ordre des Templiers: Germain (un grand fan de Jacques de Molay, personnage historique de l'Ordre des Templiers), Elise se réconciliera avec nous par JE NE SAIS QUEL TOUR DE MAGIE NOIRE. (Ah si: son Ordre s'est retourné contre elle et maintenant qu'elle est dans une merde noire elle a besoin de nous. Pas de souci meuf: le perso principal a la mémoire d'une huitre cuite et a complètement oublié les années qu'il a passé en prison à cause de toi. Bon entre temps elle semble avoir compris qu'Arno n'avait pas tué son père. C'est pas trop tôt) Elise demande protection aux Assassins, Mirabeau accepte (le gros gateux) et se fait assassiner à la séquence suivante. Elise est soupçonné mais Arno mène l'enquête, et découvre que le meurtrier de Mirabeau n'est autre que Bellec son Maître! (Damned! J'avoue avoir bien aimé ce retourneemnt de situation.) Bellec en effet trouvait que Mirabeau était faible et mou, et plutôt que de discuter ou de voter une destitution a décidé d'empoisonner son mentor. SYMPA. Bref les choses avancent, mais le Conseil des Assassins semble prendre Arno en grippe. Il faut dire que ce dernier part en peu en freestyle pour aider Elise à accomplir sa vengeance. On croise des persos sympa sur notre chemin, mais on ne fait malheureusement que les croiser: Bonaparte, le marquis de Sade, Robespierre... et puis l'inévitable arrive: on se fait radier au moment où justement on a appris un truc VRAIMENT utile. Mais le Conseil (composé de mules bornés) ne veut rien entendre et vous vire. Entre temps Elise déçue que vous ayez préféré lui sauver la vie plutôt de tuer Germain a rompu avec vous. (Faites du bien à une ingrate) Ce dernier désormais célibataire et au chômage sombre dans l'alcoolisme (sympa la morale), jusqu'à ce qu'Elise vienne le repêcher: faut quand même buter Germain. Au terme d'une dernière ligne droite assez sympa finalement (Robespierre y est pour beaucoup), Germain est acculé dans les catacombes de Paris. Grâce à son épée magique il tue Elise, mais on parvient quand même à le buter. Gros plan sur Arno en train de débiter des paroles philosophiques (je fais la blasée mais j'étais à fond dedans), et FIN.
Non vous ne saurez pas s'il a été réintégré à l'ordre, comment il a vécu la fin de la Révolution, s'il est vraiment devenu ami avec Napoléon comme le suggère la dernière cinématique, bref. La fin me laisse sur MA FAIM.


Vous remarquez que j'ai coplètement laissé de côté la méta histoire, devenue depuis quelques opus (DEPUIS QUE DESMOND EST MORT OUAIS!) anecdotique, voir carrément parasitaire. Les failles Helix étaient un peuuuu gavantes. (même si l'escalade de la Tour Eiffel avait un certain attrait) Dommage, le potentiel est réel, surtout s'ils décident de faire fusionner cet univers avec celui de Watch Dogs.


Bref un scénario bancal, assez mal intégré dans la période (à quelque exceptions près), qui avait pourtant du potentiel. Parce que oui la relation entre Arno et Elise malgré un début... bizarre disons, finit par tenir debout et arracher de vraies émotions lorsque le jeu prend fin. Mais vos alliés sont agaçants et lourd (le Conseil des Assassins m'a donné de l'urticaire non stop), les méchants sont anecdotiques et pas vraiment menaçants (on ne sent pas franchement menacés par les Templiers... et s'il n'y avait pas Elise on aurait très peu de raison de se friter avec eux.) . Bref: c'est DOMMAGE parce que ça aurait pu être très prenant. (Je suis ce genre de personnes capable de beaucoup pardonner à un jeu si le scénario est bon et les personnages attachants)


Les scénarios des AC sont de moins en moins bons, parce que l'Histoire est de plus en plus hachée. En plus de l'Histoire principale il y a une foultitude de mission: récits parisiens, résolutions de crimes, missions coop, missions vol en coop, etc. (qui tendent à rendre la carte parfaitement illisible) qui sont anecdotiques. Autant vous êtes fortement incités à faire les missions coop (bonne chance pour débloquer les pièces d'armures sinon), autant rien ne vous pousse à faire les récits parisiens: petites missions annexes sans cinématiques.
Dommage, vraiment dommage, parce que c'est là que l'on voit intervenir une multitude de personnage coloré qui font cruellement défaut à l'histoire principale et qui sont ici en marge du jeu, des étrangers pour le joueur et pour Arno. On voit apparaître Chénier, le jeune VIdocq, Dumas, Théroigne de Méricourt, Condorcet, Murat, Necker, Danton (on peut savoir pourquoi il n'est pas dans l'Histoire principale lui?!!) et tant d'autres... Ces récits interviennent en marge de la chronologie dans cette forme d'intemporalité propres aux missions secondaires mais qui ici est clairement problématique. Tout ces récits parisiens annexes couplés à cette manie de mettre des objets à récolter partout (coffres, cocardes, emblème, énigmes de Nostradamus -j'ai mal à la tête en y repensant-) me donne l'impression que la moitié du jeu n'est qu'un énorme remlissage non seulement inutile mais aussi franchement déplaisant, puisqu'on est parfois obligé d'en passer par là pour obtenir des items. Ce genre de truc qui m'ont fait passer 70 heures sur le jeu alors que je passe généralement 45 heures sur un AC.


La trame historique est... comment dire. Partisane? J'ai étudié la révolution française lorsque j'étais en Hypokhâgne et certains trucs me font bondir. La RF n'est pas une période facile, son historiographie est ULTRA controversée. Alors je comprend et j'accepte qu'une œuvre culturelle prenne un certain angle de vue même si c'est franchement étrange (visiblement les Assassin sont en faveur d'une monrachie constitutionelle... Oki. Je juge pas.) par moment. Le traitement de Robespierre et de Saint Just par la même occasion est carrément caricatural. Mais c'est le malheur des AC: ce qui touche aux Templiers est mauvais par essence.... triste. L'exécution de Louis XVI... ben. Je suppose que cétait un choix de faire du roi déchu un personnage éminement pathétique dans tout les sens du terme, mais c'était un peu gênant. Alors évidemement ce n'est qu'un jeu (casu en plus), mais prendre l'Histoire moderne à la légère et sous entendre que le peuple est une masse grouillante et potentiellement dangereuse ben, je trouve pas ça ouf.


J'ajoute aussi que le manque d'intégration de l'Histoire dans la trame historique de la Révolution est probablement l'une des choses qui pèche le plus dans cet opus. L'une des grandes forces d'AC est de faire intervenir et de rendre aimable des personnage historiques réel au coté d'un avatar fictif (et si possible charistmatique). C'était ce qui avait rendu le deuxième opus si bon (Leonard de Vinci, Macchiavel, les Medici...) et c'est franchement ce qui manque le plus ici. Les figures historiques passent en coup de vent: et aucun d'entre eux à l'exception de Mirabeau ne fait partie de l'ordre des Assassins. Domamge Sade avait du potentiel, et ce qu'ils ont fait de Bonaparte c'est tout simplement du gâchis.


Il y a aussi dans cet AC une tentative de renouveler le gameplay. Beaucoup d'idées très sympa: le fantôme qui indique la dernière position vue par l'ennemi, l'ajout d'un mode infiltration (qui aurait demandé à être paufiné mais qui n'est pas vilain), le déguisement, , des mécaniques un peu plus travaillées pour les missions principales, les combats moins faciles -plus questions de bourriner comme un cochon-. Il y a aussi des trucs qui me fatiguent: absence de possibilité de sauter s'il ya un risque de se blesser. (Alors oui c'est sympa j'ai finit de me suicider en glissant d'un toit. Mais parfois je sais que je pourrais descendre au prix de trois rectangles de vie et je ne peux pas et ça me FRUSTRE.)
L'aspect RPG aurait pu être sympa il est vite frustrant. D'autant plus que beaucoup de compétences ne se débloquent pas avant les 2/3 du jeu. Débloquer les armures pièce par pièce devient vite emmerdant.


Voilà pour l'aspect bancal des choses, place aux véritables point noirs, et ce sera bref:


J'ai joué sur PC et l'optimisation est ABOMINABLE. Juste NULLE. Drop de FPS permanents, bug récurrent et surtout CRASHS à RAPETITION. (le must c'est quand le jeu crashe en se lançant: big up à la Sequence 10 Mémoire 1, l'espace d'un instant j'ai cru que j'allai devoir recommencer ma partie et quand vous avez 65 heures de jeu derrière vous ce n'est PAS DROLE DU TOUT.) Je n'ai presque jamais éteint le jeu de moi même: la plupart du temps il crashait tout simplement. (et mon bébé fait tourner Witcher 3 avec les graphismes à fond sans le moindre problème donc l'optimisation est juste nulle, même deux ans après avec les patchs).
L'IA. L'IA est d'une nullité crasse. Il sont à la fois hyper agressif, que ce soit dans une zonne interdite ou pas les "voyous" te chercheront systématiquement des crosses. A partir du moment ou tu rentre dans leur champ de vision ils ont décidés qu'ils pouvaient venir te faire chier. Et ça fait chier. Le simple fait de passer devant eux en courant d'un point A à un point B sera un motif suffisant pour qu'ils sortent leurs armes et se mettent à te courser. YOLO. En plus d'être hyper agressive l'IA est tout simplement DEBILE. (honnêtement c'est une véritable régression, ne serait ce les combats améliorés on se croirait revenus avec l'IA du premier opus: bête et méchante) Ils ne fouillent plus les cachettes et à partir du moment où vous disparaissez de leur champs de vision, ils font semblant de vous cercher pendant deux secondes pour lâcher l'affaire par la suite. Difficile de les prendre au sérieux.


Deux point noirs seulement, mais qui suffisent à abaisser la note à 5 (je résiste pour ne pas la passer à 4), alors que j'aurai normalement mis un 6 voir un 7. Je fais généralement passer le fond avant la forme, mais quand la moitié du jeu est faite de remplissage, que l'IA est pénible (pas challengeante juste pénible) et que l'épée de Damoclès du crash surprise pèse sur votre tête dès que vous commencez à jouer et bien c'est un peu difficile de s'amuser.
ça ne devrait pas l'être.


Alors verdict? Le prendre pas le prendre? Vaut le coup vaut pas le coup?
Vous êtes comme moi un fanatique de la série? Allez y, quand on est fan on ferme les yeux sur les défauts pour ne retenir que ce que l'on aime. Aveugles volontaires, mais aveugles heureux. Cela dit jouez y sur console sinon vous vous arracherez les cheveux. Cela fait longtemps qu'Ubisoft a cessé de faire des efforts pour la communauté de PC (et c'est bien dommage).
Sinon... et bien. Soit vous avez déjà joué à un opus précédent... et honnêtement celui ci ne change pas grand chose à la soupe, passez votre chemin. Soit vous découvrez, alors venez découvrir cet univers mais franchement, attendez les soldes.


Moi je me prépare à commencer Syndicate, et quelque chose me dit que je vais regretter Unity. Mais bon. Je suis une fan. Je tomberai forcément amoureuse de quelqu'un dans le prochain opus, et avec un peu de chance il apparaîtra un peu plus qu'un quart d'heure à l'écran. (Napoléon... TT_TT)
Et puis, je suis française. Que serais je si je ne pouvais me plaindre?

OdileNaws
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le 15 déc. 2016

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OdileNaws

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