Bien longtemps avant notre ère, sur un continent encore méconnu, une région parmi tant d'autres sombre peu à peu dans la terreur... C'est au milieu des plaines et des bois, par une nuit qui étend son voile d'ombre et de mystère sur chaque parcelle de terre, qu'une peur latente qui ne cesse depuis peu de gagner en ampleur, vas connaitre au cours de cette interminable nuit, son apogée tant redouter.
De par les montagnes, ils marchent à grand peinent ou chevauchent à travers bois. Truands comme hommes de bonne foi ne fond plus qu'un en cette instant d'effroi, ou leur hameau, si paisible en sont temps, s'éteint sous le poids des bourrasques et des pluies, comme maudis par d'indicible force. Dans cette pénible marche à la lueur du couchant, le vent les cinglent, le froid les étreint, la peur les tourmentent, faible est l'espoir qui résident encore en leurs coeurs.
Pour autant, alors que les dernières roulottes s'ébranlent pour de meilleur cieux, une poignée d'hommes aux âges avancer et désireux dans découdre ont choisis d'embrassés un autre dessein. Regrouper sur la place, à quelque pas de l'imposante porte en chêne menant au origine de se fléau, leurs regards se perdent face à cette vision d'épouvante ou nul espace n'est épargner par la brutalité des éléments; arbres comme masures accusent face à la fureur répéter du vent, qui ne cesse de fouetter les lieux encore tenue par ces quelque malheureux.
Tremper jusqu'aux os par une pluie qui semble plus rêche à chaque instant, ils savent. Leurs corps frêles et leurs armes rudimentaires ne leurs donnent aucune illusion sur l'issue d'une éventuelle bataille. Hébétez, incapable de formule la moindre pensée, ils tanguent au gré des rafales dans un espace ou le temps et les jours heureux ne sont plus que de lointaine idées abstraite.


C'est alors que toute vie semblent les quittées sans attendre la mort, qu'une ombre au forme grandissante vas rallumer en eux cette flamme qu'ils pensaient évanouie à jamais. Sporadiquement caresser par les faible lanternes des chariotes et des éclairs, les pourtours vont s'épaissir peu à peu, jusqu'à offrir à l'orée du village, l'image d'un cavalier encapuchonner d'une combinaison au dominante pourpre et ciseler de plusieurs motifs dorées encore incertain.
Epuisés et ne sachant la raison de cette venue, les quelques hommes font place à l'étranger sans formulés un traitre mot. Une fois à leurs hauteur, le cheval s'immobilise pour laisser toucher terre une masse de muscle qui donne toute la mesure de l'être voiler. Darder par chacun, il s'avance d'un pas assuré et empoigne se qui semble être un crucifix au métal rutilant, ou chaque reflet donne à voir le tranchant du pourtour.
Puis, à quelque pas de l'immense porte, l'individu s'immobilise et relève sa capuche pour révélé un visage ou l'assurance comme la conviction se li sur chacun de ses plis. Un guerrier, un homme de foi ? qu'importe, sa stature imposante semble rééquilibrer les forces, pour une lutte moins vaine, au sort plus incertain. Mais à peine on t'ils le temps de croiser leurs regards après cette courte interlude que leurs nerfs redeviennent à vif, de proche en proche des clameurs animal fond leurs apparition, bientôt soutenue par des tapotement sec et insistant sur le bois détremper et ces alentour. Alors, peurs et angoissent prennent forment. Jucher au faîte de la porte, gueulent béante aux crocs acérés, ils dardent leurs proies de leurs yeux insondables, pour ne laisser qu'une emprunte au fond de leurs âmes : celle d'une mort imminente.
Alors, sans perdre un instant de plus, ils se lancent avec une grande témérité sur un terrain qui leurs semblent déjà conquis. Signe, s'il en est, d'une assurance acquise au fil des luttes passer qui non du faire long feu.
Mais aujourd'hui est un autre jour et la bataille qui se présente diffère sur un point non négligeable que le mal, aveugler par ses multiple conquêtes, n'a su prévenir à temps, un facteur qui vas renverser les rôles, faisant du chasseur le chasser, de l'imbattable, le vulnérable. Ceci, l'étranger la bien compris et compte bien l'utiliser en sa faveur. C'est donc avec une ardeur décupler que Gabriel Belmont - membre de la confrérie de la lumière - se lance dans la bataille... Et que vous prenez les chose en main !


Manette en main, c'est avec l'aide de votre crucifix qui peut se transformer en chaine "Nébulaires", et de vos potions pleine d'eau bénite, que vous aller gentiment exterminer du Streum à la chaine à la manière d'un God of War - inspiration principal du titre -, ou l'on retrouve notamment pas mal de similitude, que se soit au niveaux des combos, des quick-time ou des placement de caméras. Toutefois, les développeurs - qui livre ici leur premier titre - ne parviennent pas à rivaliser avec le ténor du genre.
Pour comprendre pourquoi, on vas d'abord s'attarder sur cette caméra qui ne cesse d'avoir la tremblote... Oui, puisqu'elle vibre en permanence, façon cameraman sur le qui-vive. L'effet, bien utiliser, peut être intéressant, mais de là à le laisser activer en permanence du début jusqu'à la fin du titre ne donne pas de sens à son utilisation. De plus, la caméra est parfois mal positionner - très problématique vue quel est fixe -, notamment lors de certaine phase de saut ou elle rend impossible toute gestion des distances - DLC je pense à toi. Rajouter à ça un personnage qui s'accroche au rebord de façon un peu aléatoire et vous obtenez des phase de sauts qui peuvent devenir pour le moins crispante.
Maintenant, si on excepte ces phases, le reste du gameplay est plutôt convaincant. Les combo s'enchaînent bien et la sensation de brutalité lorsque le fouet claque est bien retranscrite. Les items - potions bénites, couteaux de jets et j'en passe - viendront aidées le joueur en but à quelque obstacles; bien que le titre ne soit pas franchement difficile étant donner que deux pouvoir - l'un permettant de se guérir, le second d'augmenter la puissance de ses attaques - font très vite leur apparition. Reprenant le principe Onimusha, il faudra concentrer son personnage un cours instant pour récolté les précieuses orbes laisser par les ennemis après leur trépas, tout en choisissant via l'un des deux stick analogique, quel jauge vous désirer augmenter pour utiliser l'un des deux pouvoirs.
Problème, si cette mécanique est sympa, elle ne redonne pas assez d'intérêt à un titre qui vas en s'essoufflant à mesure que l'on progresse.
Car malgré un univers extrêmement travailler, des personnages charismatique, des menus superbe - c'est pas commun -, le titre ne parvient pas à garder le joueur en éveil. Plusieurs points peuvent venir étayer cette état, à commencer par l'univers assez fourre tout qui semble parfois changer d'un niveaux à l'autre et l'introduction de ses dernier mal mis en scène; il y a aussi les sauts entre ces niveaux parfois assez brutal - je vois un village au loin, chargement, je suis dans le village -, ou la narration qui n'est pas assez présente lors des phase de jeu. Le titre à beau présenter des boss colossaux avec des music grandiloquente, l'ensemble n'est pas assez bien introduit pour que l'on ressente quoi que se soit. Ainsi, la sauce ne prend pas - sauf pour la toute fin du titre que j'ai trouver assez bien mis en scène et pour le moins touchante - et l'émotion n'est pas au rendez-vous !
En conclusion, moins de contenu et plus de cohérence aurait donc été plus souhaitable. L'univers fait qu'on y reviendra tout de même volontiers pour traverser quelque niveaux, histoire de s'évader quelque instant. Voir pour débloquer tous les succès, réaliser tous les défis et finir le jeux en difficile - comme j'ai aimer à le faire plus d'un an après sa sortie. Mais jamais on ne se prendra réellement au jeu et pas un instant - durant l'aventure - le destin du héros ne nous prendra aux tripes; vraiment dommage quand l'on voit la masse de travail qu'ils ont du fournir pour réaliser à la fois l'univers et les nombreux niveaux.
Alors les Devs ont il compris la leçon ou vont il récidiver ? réponse dans le prochain volet qui sortira courant 2013...

JCDenton
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Créée

le 7 juin 2012

Modifiée

le 28 juil. 2012

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JCDenton

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