Morceaux choisis :
"Je veux planter en toi les graines de l'insécurité, de manière à ce qu'elles poussent et grandissent pendant de longues et douloureuses décennies."
"Tu as la gueule d'un crabe mécontent."
"Messire, je vous implore : cessez donc de chier dans notre putain de cheminée."
"Votre nom ne quittera plus nos lèvres, mon ami, pendant que nous sucerons nos secrétions respectives dans la brise pleine de pollen de ce bosquet isolé..."
"Un poisson tout pourri, ça rattrape pas dix ans de négligence parentale !"
"Sortez de chez moi ou je vais vous ECLATER LE NEZ A COUPS DE CRAVACHE !"
"On peut voir la raie de mon cul !"
"Donnez-moi des fruits et/ou légumes ou je vous ferai bouffer vos coudes."
"Recouvrez son membre flaccide de malachite, puis montrez-lui l'image d'un nichon !"
"Hors de question que je donne à manger à ce sale con."
"Vous avez été méchant et potentiellement un peu raciste envers moi."
"Tu ressembles à un garçon anglais dont le papa détiendrait un comté rempli de tourbière."
...
Je pourrais continuer avec des dizaines d'autres répliques, mais parfois, les seuls dialogues d'un jeu se suffisent à eux-mêmes pour en prouver l'incontestable qualité. Joe Richardson a encore frappé, et cette fois-ci, secondé par des traducteurs complètement tarés qui m'ont livré l'une des meilleures VF que j'ai pu lire dans un jeu d'aventure.
Bref. Rien à ajouter. Pour une fois.