Installation et premiers réglages
Dès le départ, j’ai rencontré un petit souci avec ma manette sur PC : le stick gauche avait un problème de zone morte. Même posée sur le bureau, la manette faisait bouger le curseur tout seule dans les menus. Après environ 20 minutes de galère et grâce à ChatGPT qui m’a guidé pas à pas, j’ai pu résoudre le problème. Sur console, apparemment, la manipulation ne fonctionne pas, et il est possible que ma manette un peu vieillissante y soit pour quelque chose.
Premières impressions (~30 minutes de jeu)
Le jeu est magnifique et la traduction française semble très bien réalisée. J’ai ressenti une vraie nostalgie, comme lorsque je jouais à Secret of Mana ou Suikoden il y a 30 ans.
En revanche, les menus manquent de fluidité : ils restent jouables, mais ils ne sont pas très rapides à naviguer. Heureusement, la rapidité n’est pas essentielle dans les menus.
Après 13 heures de jeu
L’histoire devient rapidement prenante, et le temps passe extrêmement vite lorsque l’on est immergé dans l’aventure, ce qui est un gage d’un bon jeu.
Les combats aléatoires, quant à eux, peuvent devenir un peu répétitifs. Je les ai majoritairement faits en mode automatique, car ils ne présentent quasiment aucun challenge. La configuration des restrictions pour les personnages du groupe est assez limitée, ce qui fait que le mode automatique utilise parfois des consommables ou des MP au moment où je ne le souhaite pas.
Vers 25 heures de jeu, on peut recruter un personnage capable de téléporter le groupe dans des zones déjà visitées, réduisant ainsi considérablement les combats aléatoires et facilitant les déplacements — un vrai confort.
Fin de jeu (~95 heures)
J’ai terminé le jeu en environ 95 heures, sur une période de deux mois, en suivant une soluce. N’ayant que peu de temps libre, je n’ai pas exploré tous les aspects secondaires du jeu comme :
- Les courses de Shi’vaisseaux
- La collection des œufilants
- Les combats de Beigoma
- Les coachs de Beigoma
Malgré cela, j’ai été captivé par l’histoire, faite de trahisons, de guerres, de quêtes désespérées pour la liberté et d’amitiés indéfectibles. Cependant, j’ai trouvé qu’il manquait étonnamment d’éléments de romance.
Le recrutement des personnages principaux est bien intégré à l’intrigue, mais certains personnages secondaires sont introduits de manière assez artificielle, avec des dialogues du type :
- « Oh, tu as des muscles plus gros que les miens ? Bon bah je te rejoins. »
- « Vas-y, frappe-moi, et si tu me blesses je te rejoins. »
Difficulté
Le jeu propose deux modes : normal et difficile. En mode normal, que j’ai choisi, le jeu est très facile et ne représente presque aucun défi.
Conclusion
Eiyuden Chronicle: Hundred Heroes est un excellent RPG :
- Très beau visuellement
- Fun à jouer
- Long et immersif (peut-être trop pour ceux qui disposent de peu de temps)
C’est un jeu qui plaira particulièrement aux amateurs de RPG classiques, nostalgiques des titres des années 90, avec des combats stratégiques et une histoire riche.
Critique effectuée avec le soutien de ChatGPT, pour structurer mes idées et affiner l’expression.