Jurassic World Evolution 2 par Sunread26

Chronique complète

Extrait :

Jeu de gestion d’un zoo version dinosaures Jurassic World Evolution 2 est le second opus de cette franchise. Le possédant déjà sur une autre plateforme, on peut dire que j’étais déjà un peu rodée en le reprenant sur PC. J’en profiterais également pour comparer un peu les deux versions (console avec manette et PC avec clavier). Je n’ai pas encore pris le premier sur PC et sur la console, je n’ai que la version de base, mais j’espère pouvoir la prendre bientôt et ainsi en proposer une chronique également. Les jeux datent un peu mais tant pis, surtout que le 3e va bientôt sortir (avec plus d’éléments comme sur Planet Zoo, ce qui sera cool).

Je dois dire que je n’ai pas vu de grandes différences entre les deux premiers opus (ce qui va drastiquement changer avec le troisième normalement). Il y a sans doute eu quelques changements, mais globalement, le moyen de créer le parc est assez similaire et pas toujours pratique. Entre les éléments qui se bloquent entre eux, les dinos qui buggés par moment (pour la version PC), on peut dire que ce n’est vraiment pas évident de créer un parc comme on le souhaite. Je ne parle pas non plus des limites de la map, qui ne s’appliquent pas toujours là où elles sont marquées, ni de leurs formes toujours bien étranges (même si ça fait plus naturel). Comme l’opus précédent, il y a eu plusieurs DLC, qui ajoutent notamment de nouveaux dinosaures, pour un total de 122 dinosaures. Le jeu de base en comptant déjà 75 (l’équivalent de ceux du premier jeu et de ses DLC il me semble), c’est plutôt un joli nombre. Bien sûr, je résume cela à des dinosaures, mais il y a aussi des reptiles marins et volants (voire un qui est peut-être plus un mammifère, puisqu’il ressemble à une chauve-souris). Le développeur du jeu est le même que pour Planet Zoo et si j’adore ce dernier, il faut bien avouer que la version dinosaure n’est pas encore au point, c’est sans doute pour cela qu’ils vont faire évoluer certaines choses pour ressembler à Planet Zoo. Ce que je trouve dommage c’est la quantité de DLC (y en a aussi sur Planet zoo, mais le prix est plus abordable). Il serait sympathique de leur part de penser à faire des mise à jours gratuites dans leur prochain opus, afin d’offrir un dinosaure de temps en temps. Dites-vous bien qu’avec toutes les promotions, j’ai quand même donné pour 58€ sur Steam afin d’avoir les différentes extensions. Après, je ne m’en plaindrais pas plus que ça, car je connais un jeu qui fait encore pire : Destiny 2… alors là, celui-là, c’est vraiment un attrape pigeon, tout devient payant c’est horrible, je ne prendrais même pas la suite (alors même que l’univers me plait).

Le jeu a différent mode, allant de la campagne nous mettant en scène après le film Fallen Kingdom, à la théorie du chaos qui reprend l’histoire des différents films en imaginant une fin alternative. Il y a aussi deux autres modes, plus libres, à savoir, le bac à sable (mode de jeu libre pour tous les paramètres, utile pour certains succès) et le mode défi, un peu comme le bac à sable mais avec des restrictions et des objectifs à atteindre. De quoi plaire à tout le monde, après le mode campagne a été assez rapide à faire je trouve. La théorie du chaos a été un peu plus longue, mais sans plus. Par rapport à des scénarios de Planet Zoo par exemple, c’était quand même bien court. Sans oublier que là aussi j’ai eu des bugs et j’ai dû recommencer plusieurs scénarios car les objectifs ne se validaient pas (sur PC). Coté personnalisation, il est parfois plus facile d’avoir des dinosaures différents que des bâtiments. Je ne me suis donc jamais bien embêtée à leur sujet pour les faire varier… Pareillement pour les enclos, il n’y a pas vraiment de moyens de les personnalisés, les clôtures sont randoms. La végétation s’ajoute toute seule et comme les dinosaures ont leurs préférences (avec un territoire donné), c’est parfois juste chiant de parvenir à faire coexister plusieurs d’entre eux. Il ne faut pas non plus se fier uniquement aux rapports d’écrits sur leur description, notamment le fait que les gros carnivores supportent les petits charognards car souvent les premier mangent les second et c’est bien triste…

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