Ça y est ! Le calvaire est fini !
Des années que j'ai acheté ce jeu, des années qu'il est installé sur ma machine, 3 tentatives pour m'y mettre et le finir. Ce jour est enfin arrivé, j'ai fini L.A Noire, le jeu le plus long et chiant auquel j'ai pu jouer.
J'aborderai pas le coté technique qui est juste ignoble et complètement à la ramasse. En deux mot, on est à peine au dessus d'un Mafia sortie en 2002 et L.A Noire est sorti en 2011.
Une ville ouverte est présente mais on ne sait pas vraiment son utilité, il n'y a absolument rien à y faire. Pour sa modélisation reportez-vous à ma précédente phrase. Pour être parfaitement honnête, il y a que deux chose a y faire : trouver des bâtiments « unique » et lors ne nos déplacements, nous pouvons nous rendre sur des délits. Pour l'un cela se résume à appuyer sur B (manette) et l'autre à buter 3-4 gars voilà !
Alors pourquoi je parle de calvaire ? Eh bien c'est parce que ce jeu est incroyablement plat et répétitif et un peu raciste. Sur les dix-sept missions du jeu (sans les DLC) seize comporte le meurtre d'une femme (toutes blanches et bonnes citoyennes), et une comporte la mort de deux hommes toxicomane et comme par hasard ils sont noirs (bah oui, les blancs se droguent pas, hein), ce sont d'ailleurs les seuls du jeu. 17 missions pendant lesquelles vous ferait exactement la même chose encore et encore.
Il reste trois missions. Sadiquement mise à la toute fin et à la suite pour conclure le jeu. Pourquoi sadiquement ? Simplement parce que ces trois missions sont certainement les meilleures du jeu. On y fait plus d'enquête chiante à base de recherche d'indice, de trimballage de lieu en lieu et d'interrogatoires usant. Ces trois dernière missions sont ultra scénarisé et nous raconte enfin un semblant d'histoire et sa conclusion.
La conclusion du jeu, après avoir souffert 23 heures est pitoyable mais quelque part elle est en parfaite harmonie avec l'ensemble du titre.