Mafia: Definitive Edition
7.3
Mafia: Definitive Edition

Jeu de Hangar 13 et 2K Games (2020PlayStation 4)


Un remake mieux dans mes rêves.



Voici un bref résumé de mon expérience sur Mafia : Definitive Edition, le remake que j'attendais fort du premier de la série des Mafia qui date de 2002.


[DISCLAIMER] : si vous êtes un fan invétéré du jeu original, vous aurez sans doute du mal à rejoindre mon point de vue, ceci étant, bonne lecture.


Pour commencer, oui j'ai essayé le titre original il y a déjà quelques années, mais je l'ai vite laissé tomber après cette fameuse mission où on doit récupérer le bolide de course, comme beaucoup d'autres joueurs d'ailleurs, la faute à ce timing infernal.
Et pourtant j'ai fait d'autres jeux au gameplay vieillot ou plus anciens (voire extrêmement punitifs) que ce jeu-ci, mais là c'était juste trop pénible et peu agréable à jouer.
Soit, j'en ai pas pleuré plus que ça.
(Donc les puristes, ne vous sentez pas agressés par mon jugement).


Étant donné que c'est un remake du coup, je vais d'abord commencer par ce qui a été amélioré par rapport à la version d'origine, je parlerai de la trame/univers en fin.
Bon, parlons maintenant de ce jeu-ci.
Au passage, je l'ai fait en difficulté classique, un des gros intérêts que le jeu suscite selon moi.


Pour aller droit au but, c'est une BELLE DÉCEPTION (encore une fois).


Je sais pas ce qui tourne pas rond chez Hangar 13 mais c'est pas normal.
Graphiquement c'est nickel : belles flaques d'eau, beaux éclairages, beaux reflets sur le parquet etc...
Il y a un certain sens du détail.
Quasiment un rendu next gen.
L'ambiance est super.
L'histoire est plutôt chouette, même si elle est (trop) faible en rebondissements.
Outre le mode histoire, on a droit au mode circulation (comme dans le jeu original, il me semble) où libre à nous de pouvoir rouler à toute berzingue dans Lost Heaven. Bon par contre je n'y ai vu aucunes missions annexes hormis les éventuels collectibles éparpillés sur la map, même si j'avoue y avoir passé juste une heure histoire de conduire un peu et faire quelques succès.
La BO dédiée est très quali, par contre il faut un peu tendre l'oreille pour entendre celles qui passent à la radio car elle sont souvent remplacées par des flash info, faut souvent changer de poste en gros.
La conduite offre de bonnes sensations (surtout en simulation où on doit manuellement changer de vitesse).
La VF est de bonne facture.
Et c'est (heureusement) pas trop cher pour sa durée de vie (une dizaine d'heure).


PAR CONTRE.
Le gameplay est mauvais, rigide et plat comme pas deux.
ON EST EN 2020 NON ?
C'est pourtant incroyable de retrouver exactement les MÊMES PROBLÈMES que pour Mafia III, alors que ce dernier date de 2015 !
On y retrouve aussi exactement les mêmes animations (les mêmes déplacements à pieds en intégralité... même le petit saut sur lui-même que Lincoln faisait juste après être sorti du mode visée en déplacement, quand il tient un fusil à une main en course, etc...), la même IA (affreuse), les mêmes gunfight avec le même feeling des armes, la même "infiltration" aux fraises et ce même FX chiasseux dès qu'une cinématique se lance (bon j'avoue ça c'est du détail mais juste pourquoi ?).
Donc pour ce qui est du gameplay, c'est un pur COPIÉ-COLLÉ DE MAFIA III en somme... Et ne venez pas prétendre le contraire.
Le système de combat, est toujours aussi dégueulasse. En gros, bourriner puis exécuter des finish plutôt mollassons (qui eux je concède sont inédits à ce jeu, les animations du moins) et hop. Les contres finis à la pisse. Aucun ressenti. Et dire qu'en 2010, Mafia II proposait un bien meilleur système de combat, perfectible certes mais beaucoup plus jouissif, qui procurait plus de sensations. Bien dommage...


LES GRAPHISMES NE FONT PAS TOUT !


Les lampadaires qu'on peut pas détruire, assez frustrant.
Moi qui kiffait tant rouler à toute berzingue dans les poteaux dans le 2ème opus, ici j'ai pas pu m'amuser.
Les piétons aussi sont devenus ultra rembourrés et il faut réellement le vouloir de tout son souffle pour les écraser, et aussi avoir de bons réflexes pour bien tourner à bloc quand ils tentent une esquive. Encore une fois dans le 2, l'IA avait un temps de calcul plus réaliste et la physique tenait un bien meilleur équilibre, permettant de les pousser à petite vitesse et de les propulser dans leur ragdoll.
L'immersion prend un coup.
Les scripts sont parfois un peu chelous, je pense à la course-poursuite de Tommy en moto contre le bras droit de Morello. Peu après apparaître de nulle part, Paulie et Sam se vautrent dans le décors, mais rien ne te fait explicitement comprendre que c'était une mise en scène.
La difficulté classique est un peu une purge, je vais pas le cacher (essentiellement pour les chronos et les course-poursuite, comme celle avec le camion, les devs n'ont visiblement pas testé ce mode...), mais faut dire que je l'ai un peu cherché aussi. J'étais trop chaud, j'ai voulu faire un trickshot sa mère...


Mais SURTOUT, les putains de BUGS, qui se comptent même plus passé un cap, polluent totalement le jeu.
Il y en a pour tous les goûts : des bugs de collision, des voitures qui apparaissent devant nous en tombant du ciel, des dialogues qui se chevauchent (genre j'ai eu droit à : "Regarde la route !" et "T'es devenu un vrai as du volant !" en même temps, provenant de la même personne), des textures qui peinent à s'afficher, des freezes récurrents, des ennemis qui se déplacent dans l'air quand on fait un finish au corps à corps, des crashs, et j'en passe...


Mais l'un d'entre eux reste hallucinant : un BRUIT ULTRA FORT qui sort tout d'un coup tel un screamer (apparemment j'ai pas du tout été le seul à l'avoir eu, autant sur PC que consoles), comme un grésillement mais vraiment de quoi faire éclater les enceintes, ça m'a fait bondir. J'ai du relancer le jeu.
NHAR SHEITAN.
J'attendais au minimum que ce jeu bénéficie d'un certain suivi et au final je constate un vrai RETARD TECHNIQUE sur certains points, ce qui est d'autant plus paradoxal quand on voit le soin donné à la plastique.


En tout cas, c'est AFFLIGEANT de littéralement GÂCHER l'expérience/l'histoire avec une telle quantité de problèmes en tout genre car le dessous du capot est vraiment bon, pour ceux qui aiment les bonnes histoires de mobster des années 30, elle aurait mérité plus d'efforts sur la finalisation, et il aurait fallu tripler voire quadrupler la période de débogage.
En soi, je vais pas nier qu'il y a toujours eu des bugs dans les Mafia, mais je pense que j'en ai vu plus dans ce remake que dans le 2 ou encore le 3 !


Je descends pas la note plus bas car c'est pas non plus la catastrophe, et puis j'ai aussi passé quelques bons moments.
La course automobile est quand même sympa (en classique bien sûr, comme un beau gosse, beuuarrgl, référence obscure).
Même si en vrai j'ai plus souvent rigolé en voyant les bugs, chouette je suppose ?
J'adore aussi les rampes sur la route placées là expressément pour qu'on fasse une cascade... Oubliez cette merde, ils n'ont clairement pas remarqué que leur physique était totalement éclatée, notre véhicule s'envole n'importe comment, c'est vraiment ingérable, donc épargnez-vous cette dose d'adrénaline cinématographique surtout si vous êtes en pleine course-poursuite...
L'écran de game over est aussi vraiment cocasse : quand on meurt, "Vous êtes mort." s'affiche en grand, soit, mais juste en dessous ils ont eu la curieuse idée de mettre le nom du chapitre en cours. Du coup, j'ai eu droit à "Vous êtes mort. Joyeux anniversaire !" ou encore "Vous avez déclenché l'alarme. Relax !".
J'espère que c'est fait exprès parce que c'est vraiment pété du *.


Parlons maintenant de l'histoire en elle-même, et pour être très franc, ayant d'abord joué à Mafia II avant de faire le 3ème puis le 1er de 2002 et enfin celui-ci, je n'ai pas trouvé ça tellement palpitant, mais ça reste quand même assez cool.
Après je me suis clairement pas fait chier mais comparons le un instant avec le deuxième volet pour comprendre ce qui me laisse de marbre.
Les spoilers éventuels commencent donc ici :


L'histoire de ce Mafia, premier du nom, débute sur le quotidien banal de Tommy Angelo, un chauffeur de taxi minable, qui enchaîne course sur course. Un soir, il se voit contraint d'extirper Paulie et Sam (deux mafiosi de la famille Salieri) d'une course-poursuite tendue. À partir de là, la mafia reconnaît sa dette envers Tommy et le remercie avec le bon pactole.
Un peu plus tard, des petits enculés de la famille rivale (Morello) viennent détruire votre taxi et vous encule en gros. Tommy, tout violé, se fait plus tard courser par d'autres voyous et atterrit chez Don Salieri, il lui explique la situation et le Don prépare un chèque mais Tommy veut plutôt défoncer la gueule de ces petits enculés qui ont détruit son taxi.
Et voilà, vous êtes devenu un mafieux, GG EZZZ.
Après quoi s'en suit une ascension dans le crime, l'amitié naissante de Tommy et ses deux acolytes Paulie (un bon bourrin bien grossier) et Sam (plus malin et silencieux), des tâches toujours plus dures et pesantes, qui accableront davantage la bonne conscience de Tommy, fort en retrait jusqu'à la fin du jeu.
Il y a aussi une romance avec Sarah, la fille du barman, qui, bien qu'un peu expédiée, relève un peu la teneur du récit, récit entrecoupé de retours vers le présent où on suit une discussion entre Tommy et un détective qui retrace donc tous les événements du jeu. Comme dans l'original de 2002.


Alors oui bien sûr Mafia est le premier jeu, donc c'est peu surprenant que l'histoire soit un tantinet simpliste et qu'elle puisse servir d'esquisse pour la suite, beaucoup de codes y sont d'ailleurs ré-exploités comme le trio des héros :
Tommy, Paulie et Sam, qui sont respectivement dans Mafia II : Vito, Joe et Henry. Exactement les mêmes personnages. Loin d'être un reproche en soi.
Certains passages sont aussi quasiment les mêmes :
- Amener Sam chez le toubib après qu'il se soit pris pruneaux au motel est fort similaire au passage où on doit conduire Henry chez El Greco, après avoir descendu la cible dans "La Sulfateuse", Henry ayant un trou gros comme une balle de golf.
- Ce même Sam qui vers la fin se révèle être votre ennemi, comme Henry qui était un indic.
- Le lien entre Tommy et le consigliere de Salieri, Frank, rappelle aisément Vito et Léo Galante. D'ailleurs on doit également l'aider à se mettre à l'ombre malgré les ordres du boss.
Et il doit y en avoir d'autres mais pour l'heure c'est ce que j'avais remarqué.


Encore une fois, ici je compare Mafia et Mafia II mais c'est clairement ce dernier qui s'est inspiré de son prédécesseur. Pour le coup, j'ai vraiment apprécié distinguer leurs ressemblances. Mais dans le fond, Mafia II est juste au-dessus sur bien des points comme l'ambiance (désolé mais je préfère quand c'est rock 'n' roll), le rythme et aussi la BO dédiée, mais un reste essentiel : l'écriture du personnage principal.
Personnellement, j'ai trouvé les mobiles de Vito bien plus compréhensibles et mieux amenés que ceux de Tommy, ce qui le rend entre autre plus attachant.


Tommy, immigré italien, qui part de rien, dont on ne sait rien en fait, s'invente une carrière de mafieux un peu sur un coup de gueule et s'avère être aussi bon pour tirer que pour conduire, soit.
Vito, lui, on le voit carrément débarquer à Empire Bay avec ses parents et sa sœur Francesca, ils sont pauvres donc il part également de rien, puis rencontre Joe Barbaro, issu du même milieu, ils se nouent tous deux d'amitié et se lancent dans des sales coups comme cambrioler des bijouteries. S'en suit l'arrestation de Vito et son service lors de la Guerre, donc en plus il est entraîné au tir. Blessé, il se fait rapatrier et revient plus tard chez lui, Joe l'accueillant comme jamais; puis Vito découvre les dettes qu'avait son père avant de mourir... Et ENSUITE, il reprend du service et s'enroule progressivement dans la mafia.
Je ne vais pas m'étendre plus loin, il y aurait plein d'autres choses à dire mais le principe de base est là.
Donc chez VITO, on sait qu'il DOIT DE L'ARGENT à des types louches qui menacent sa famille, qu'il n'arrivera jamais à trouver cet argent en bossant comme docker, et son meilleur ami d'enfance, Joe, le plonge, malgré les avertissements de sa mère, dans le monde du crime organisé.
Chez TOMMY, ça sort juste de nulle part, RIEN NE L'OBLIGEAIT à rejoindre la pègre.
Moi je trouve pas cette réaction naturelle en fait...
Sans oublier que Vito, lui, a peur de finir comme son père, sur qui il apprendra beaucoup de choses sombres par après, ce qui légitimera davantage tous ses choix.


Alors en vrai je pourrais pas trop analyser toutes les nuances qu'il y a entre ce remake et le titre original, car j'ai loupé une bonne partie du jeu de 2002, mais pour le peu que j'ai vu c'est assez fidèle et sur ce fait la refonte doit être agréable pour les fanatiques.
Le passage au motel par exemple est plutôt bien retranscrit (pas trop dur j'imagine, suffit de recopier lol, je rigole) et la planque de Salieri est bien représentée, avec cette salle de réunion derrière la table de billard, l'armurerie, les flashbacks,... et pour le reste je peux pas trop dire vu que je me rappelle pas trop et je n'ai su faire que les premiers chapitres, mais je suppose qu'à ce niveau là, le remake reste BON.
Par contre, qu'on vienne pas me dire que je suis sévère sur ce jeu comme quoi j'aurais pas grandi dedans, ce serait trop facile.


Et alors pour conclure cette critique, la cerise sur le gâteau, ce qui m'a vraiment achevé, à la fin, c'est vraiment du chipot pour certains hein, bon je vais pas trop spoiler mais...


JOE BARBARO EST AFFREUX !
Il ressemble vraiment à rien ! Alors que Vito a le même rendu que dans Mafia II, ça n'a aucun putain de sens, j'ai vraiment eu cette sensation quand une chiasse orange te coule dans le cou. IMPARDONNABLE .
Même dans la version originale de 2002, Joe ressemble plus au Joe de Mafia II alors que celui-ci sortait 8 ans après... WTF ??!! Comment ? Comment réussir un tel exploit ???
Après c'est purement subjectif hein, si vous voulez, jugez par vous-même avec cette vidéo.
Elle spoile beaucoup donc faites attention...


Bref.
Perso, j'ai été baited comme un gosse qui déballe une boîte PS4 que son père lui offre pour recevoir en fait des rouleaux de PQ.
Je me rappelle quand ce jeu était annoncé j'étais très chaud.
Puis j'ai appris que le moteur serait le même que celui de Mafia III, ok, et après j'ai vu cet extrait de gameplay et là ouais j'ai senti venir la daube, ça ressemblait beaucoup trop à Mafia III.
Au moins ils n'ont pas fait de remake du 2, là on aurait rigolé...


La mort de l'art.
C'est le nom du dernier chapitre... çA fAiT rÉfLéChiR HeiiiiN ?!?!??


Quoiqu'il en soit...
MAFIA II RESTE MON PRÉFÉRÉ ET DE LOIN !


J'ai pris la peine de rédiger cette critique car, malgré tout ce que j'ai pu dire en haut, j'aime la série des Mafia et même si je suis déçu, je ne regrette pas d'y avoir joué pour autant.


RÉSUMÉ


Les PLUS



  • Histoire de gangsters prenante

  • Graphiquement on ne peut plus propre

  • Conduite agréable en mode simulation

  • Durée de vie correcte pour le tarif

  • Musiques discrètes mais sympathiques

  • Bonne VF

  • Prix conseillé honnête

  • Remake fidèle, les puristes en larmes

  • Mode classique bien vu


Les MOINS



  • Beaucoup de récup' sur Mafia III

  • Sacré paquet de bugs en tout genre

  • Quelques crashes

  • Quelques freeze

  • Gunfights datées

  • Collisions indignes de 2020

  • Difficulté absolument pas revue pour le mode classique

  • Les magazines Playboy me manquent...

  • Rendu de Joe Barbaro ignoble


Voilà.
Ceci reste mon simple avis, il n'engage que moi, libre à vous d'aimer ou pas ce jeu.
Si vous êtes arrivés jusqu'ici, merci de votre patience et désolé pour ma grossièreté mais je suis comme ça.
Paix sur vous et vos proches et n'oubliez pas le dicton sacré :
PER ASPERA AD ASTRA.

Paynekiller
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le 2 nov. 2020

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