Metal Gear Solid 2: Sons of Liberty par Heykel
Les rares fois où l'on peut jouer (après avoir passé tous les dialogues intempestifs du codec notamment), on se rend compte que la prise en main est bancale, que les ennemis n'ont pas d'IA, que les boss sont aussi charismatiques que des cosplayeurs naruto (mention spéciale au gros porc en roller). On passe son temps à faire des aller-retours sur une plateforme tricolore, où l'on glisse sur des fientes de mouette. Je ne parlerai pas du scénario qui est soit d'une prétention sans nom, soit à prendre au 6ème degré.
Heureusement, la durée de vie de cette daube nous permet de ne pas souffrir trop longtemps.
Après avoir terminé le jeu, on réalise tristement que les phases de codec étaient les moments les plus intéressants de cette galette putride.