Rapelay
4.1
Rapelay

Jeu de Illusion Software (2006PC)

Intrigué par la critique de Blèh qui m'avait pas mal fait rire, j'ai mis la main quelques temps plus tard sur une version de ce jeu en traînant sur le Net (JE TIENS A SOULIGNER QUE TOUT CELA EST PUREMENT FORTUIT).

Bon, lancement du jeu tout ça, et il commence à y avoir un vieux texte qui défile sous une image de japonaises qui discutent dans leur cuisine, un peu à la Phoenix Wright mais sans les animations qui en font le charme. Bon, je lis, ça devient long (surtout que le texte chiait dans la colle un mot par phrase, faute à une version un peu pourrie). C'est trop long, spam clic pour zapper les conneries.

On arrive enfin à un moment de gameplay (ça prend tout son sens avec ce genre de jeux :D ). Pas beaucoup de choix, quelques clics ici et là pour prendre le coup de "main" sur l'interface, ok, on est sur un quai de rame de métro, hop on envoie une petite bourrasque pour le LoL d'avoir un petit effet Marilyn sur la cible, hop hop hop, on monte dans la rame.

Là, la prise en "main" est plutôt simple, avec une mise en scène qui pourra rappeler G-Spot pour les connaisseurs d'anime, 4 possibilités de "lieux" tactiles, bon, il suffit de forcer un peu pour passer à la next step, en étant assez rapide pour switch entre les parties avant qu'elle ne se protège. Easy mode quand on a fini Vanquish (pour la rapidité) et Killzone 2 (pour l'adaptation à n'importe quel gameplay, aussi à chier soit-il) en Hard.

Encore un petit interlude avec des voix japonaises et du texte à zapper, clic clic clic, nous y sommes. Corde + menottes, dans les toilettes publiques, ok je vois le topo.

Gameplay classique de scène de ce genre, on peut changer la caméra, paramétrer les habits à mettre/enlever, par où le personnage va faire son affaire, jauge de plaisir toussa, youplaboum on agite sa souris, c'est plié. Bon, on peut recommencer autant de fois qu'on le veut (enfin ch'aipa, j'ai pas fait ça 3h non plus), l'on notera qu'à partir d'un certain nombre de fois quand même le réalisme pousse le vice jusqu'à parvenir à faire saigner son propre personnage (l'usure tout ça, faut préserver le matériel).

Une fois que c'est fini, c'est rebelote scénar, quai de gare, métro, scénar, massage boum-boum dans un endroit glauque avec les menottes, scénar, @ plus sous le bus.

C'est ça trois fois et après ça débloque le mode plus complet où on peut choisir à partir d'un menu où, quand, comment, à qui, avec qui (jusqu'à 3 coéquipiers !) et avec un tableau de scores/records tout ça.

En bref un gameplay pas très innovant, des graphismes qui accusent leur âge, pas mal de répétition dans le déroulement, peu de possibilités.

Bon ça se finit quand même en 20/30 minutes au total, et c'est quand même assez lolesque si on a une bonne grosse dose de second degré.
Flagadoss
4
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Non, je n'assume pas, c'est pas moi qui l'ai écrit :o

Créée

le 22 nov. 2010

Critique lue 11.7K fois

14 j'aime

2 commentaires

Flagadoss

Écrit par

Critique lue 11.7K fois

14
2

D'autres avis sur Rapelay

Du même critique

Pokémon, le film
Flagadoss
10

There is more than meets the eye.

Non mais il faut mûrir un peu avant de dire "olol Pokémon C pourh lé gam1". Grandissez et apprenez à savourer les petits plaisirs de la vie. Allez chercher un travail, soyez payé, achetez le DvD (ou...

le 11 juin 2011

141 j'aime

62

Pokémon X
Flagadoss
9

Reprennez donc de ce Xérès avec votre Yaourt.

Apparemment quand on a un pseudo de Pokémon, il faut faire des critiques de la licence au lieu de faire le rentier du like sur des vieilles critiques et listes. Soit. Après avoir réalisé le rêve de...

le 17 oct. 2013

138 j'aime

22

Gurren Lagann
Flagadoss
9

L'anime qui divise littéralement par zéro.

Tengen Toppa Gurren-Lagann, c'est trop bien. La preuve : je viens de regarder les 27 épisodes d'affilé et j'ai fait qu'une pause sandwich au milieu. Ça commence en douceur genre Shônen dans un monde...

le 8 juil. 2011

135 j'aime

29