Quand deux passions, celle du jeu-vidéo et celle du Septième Art, se confondent et tirent le meilleur des deux mondes.
D'autant plus en phase, lorsqu'il s'agit du genre western.
Le premier RDR avait déjà été une expérience vidéoludique indélébile pour tout gamer qui se recpecte (avec un final inoubliable).
Même si je n'ai terminé et platiné ce second volet que sur le tard (plus de trois ans après sa sortie), il s'agit toujours à ce jour, du plus technique, du plus complet et aussi beau que réaliste open world jamais réalisé.
En sus, Rockstar a certainement créé le personnage le plus charismatique de son histoire et marquant au fer rouge de son immense savoir faire (euphémisme) toute l'industrie vidéoludique.
Un Arthur Morgan plus vrai que nature, auquel on s'attache irrémédiablement.
Enfin, que dire de ce long épilogue (en deux parties, plus les belles scènettes qui émaillent le générique) qui procurent également beaucoup d'empathie envers John Marston et sa nouvelle voie.
Celle de la rédemption (à l'instar de son frère de cœur) mais que l'on sait éphémère, comme la vie de nous autres réels terriens.
9,5/10