Remnant II
6.8
Remnant II

Jeu de Gunfire Games et Gearbox Publishing (2023PlayStation 5)

Aujourd'hui un petit sujet pour un petit studio de développement, ou plutôt un "moyen" studio. Il s'agit de Gunfire Games, qui comptait en 2021, 82 employés et donc surement un peu plus en 2023. En réalité, j'avais surtout envie de parler de leur dernier jeu Remnant 2. Seulement, je pense que Remnant 2, comme toute œuvre qui s'inscrit dans une carrière d'un studio est le résultat de plusieurs années d'expériences et de jeux sortis. Et donc, parler de Remnant 2 revient à parler de toute l'histoire, heureusement courte, de Gunfire games. Je le fais aussi, parce que je ne sais pas si j'ai tant de choses à écrire sur Remnant 2 au final. Comprenez bien que je prépare ces articles de façon linéaire. J'en suis donc au même stade que vous, à savoir l'introduction.

Jeune studio mais pas vraiment, Gunfire Games fut fondé en 2014 par David Adams. Pourquoi "pas vraiment" ? Simplement parce qu'avant ça, il était déjà le fondateur de Vigil Games que vous connaissez sûrement pour les deux premiers Darksiders. Quand Vigil Games a fermé suite à la faillite de l'éditeur THQ, il y a eu une très courte parenthèse quand une cinquantaine de membres ont pu créer et rejoindre Crytek USA. Un studio qui a tenu moins d'un an. Gunfire fut donc créé à la suite de cet échec avec 7 membres de façon indépendante. En 2019, il s'est fait racheter par THQ Nordic après avoir déjà collaboré avec l'éditeur pour le remaster de Darksiders 2 et la sortie du 3. Le nouveau studio a fait ses premières armes en développant des jeux VR pour Oculus, ce qui illustre plutôt bien une de ses qualités. Ils savent ce qu'ils font financièrement. Je pense que quand Gunfire Games est fondé, le premier objectif est de faire Darksiders 3, mais plutôt que s'y atteler immédiatement alors qu'ils n'ont ni les moyens ni l'équipe nécessaire, ils signent des commandes pour Oculus en faisant des jeux qui ne sont pas dingues mais qui leur rapportent assez pour grandir.


Pour une version illustrée et mieux mise en page, c'est par ici.


Darksiders 3 et l’inspiration Dark Souls

Ce qui nous amène à Darksiders 3, la licence bébé du studio qui aurait pu ne jamais voir le jour alors que, mine de rien, il y a une fanbase sur Darksiders. Moi-même, j'aime bien, mais alors avec beaucoup de modération, et le 3 reste dans cette catégorie. J'en avais fait un article sur mon blog (et une vidéo !) il y a deux ans de cela et mon avis est le même aujourd'hui. Je trouve la licence assez chouette en tant que miroir du jeu vidéo et de ses tendances. En 2010, le premier était un mash up entre la première trilogie God of War et Zelda : un beat'em all relativement simpliste dans une formule qui tournait autour de donjons. Il ne se privait pas non plus de picorer certaines idées ailleurs à mi-chemin entre l'hommage, le clin d'œil et le plagiat, comme avec le portal gun par exemple. Le deuxième, peut-être un peu plus controversé, et clairement moins bien fini (le dernier tier du jeu est bâclé) sort lui en 2012 et si la tendance Zelda est toujours présente (Skyward Sword n'est sorti qu'un an avant), la mode dans le jeu vidéo c'est le loot. 2012, c'est l'année de sortie de Diablo 3 et de Borderlands 2, deux gros jeux au loot hack'n slash et donc qu'on apprécie ou non, Darksiders 2 est bien conscient des genres ou des idées populaires actuellement. Malheureusement, tout ceci n'empêche pas les jeux d'être des semi-échecs, en tout cas pour l’éditeur THQ. Trois raisons à cela. La plus évidente est que la concurrence est rude sur ces deux années. On ne va pas refaire l'inventaire des sorties de 2010, mais si vous avez lu l'article sur Alan Wake 2, vous devez avoir une petite idée. Seconde raison, plus importante à mon sens, l'univers de Darksiders n'est pas dingue. C'est mon avis personnel, mais c'est quelque chose qui me parait assez évident, en particulier dans les suites, qui ont en plus la mauvaise idée de ne jamais faire avancer l'intrigue globale. Enfin, si la saga Darksiders a une vraie compréhension du jeu vidéo lors de ses différentes sorties, elle n'apporte pas sa pierre à l'édifice. Faire un melting pot des mécaniques populaires c'est très bien, être incapable d'en inventer des nouvelles, c'est dommage. Darksiders 3 ne fait pas exception. C'est toujours un jeu qui emprunte un peu partout avec soin, et qui échoue paradoxalement sur tout ce qu'il est censé apporter, que ce soit en termes de mécaniques comme d'univers. En revanche, la tendance du jeu vidéo en 2018 n'est plus forcément Zelda, mais Dark Souls, et donc permettez-moi de vous présenter la phrase la plus grossière que j'ai pu écrire cette année : Darksiders 3 est le Dark Souls des Darksiders. Maintenant que les conneries sont lâchées, on peut tout de même constater que Darksiders 3, comme ses prédécesseurs avant lui, pioche dans ses inspirations avec parcimonie et une certaine forme de modestie. Il prend les idées en comprenant pourquoi elles sont bonnes plutôt que de faire bêtement un clone de Dark Souls. Ainsi donc, il reprend comme tous les autres jeux vidéo l'idée des potions qui se rechargent au feu de camp, et le fait que chaque repos fait revenir les ennemis, ou la possibilité d'aller récupérer ses âmes, seule monnaie du jeu à la fois à dépenser chez les marchands et pour investir dans ses compétences, après une mort. Pour coller à toutes ces idées, il se permet également d'avoir une difficulté un peu plus relevée que dans les deux premiers titres, mais c'est bien tout ce qu'il reprendra à la saga de From Software. Pour le reste, Darksiders 3 reste un beat'em all tout à fait classique, avec assez peu de combos, mais un excellent feeling grâce aux esquives et parades parfaites. Certains boss fights sont à la fois tendus et épiques. Il n'essaye pas du tout d'être Dark Souls dans sa maniabilité, et ça lui profite grandement par rapport à des The Surge ou Lords of the Fallen (premier du nom). Malgré ses failles et son incapacité à être un titre mémorable, ses ventes, cette fois-ci semblent parfaitement honorables d'après THQ Nordic, peut-être aussi parce que celles-ci furent revues à la baisse.

Les courageux développeurs de chez Gunfire Games n'ont pas pour autant décidé de se reposer sur leur laurier, avec le lancement d'une nouvelle licence, Remnant. Remnant from the Ashes, premier épisode, semble avoir des liens, au moins visuels, avec Darksiders mais c'est tout. Il est possible que la création de cette nouvelle licence illustre le fait que le studio a enfin compris que la saga des Quatre Cavaliers de l’Apocalypse n'avait pas forcément conquis le public. Et puis, elle colle un peu plus au nom du studio. En effet, les deux Remnant (sortis respectivement en 2019 et 2023) sont des tps qui peuvent être fait en solo comme en coopération. Ils semblent être la somme de toutes les inspirations de Darksiders, mais toujours avec modération. Si la formule classique de Zelda a du mal à réellement émerger, on trouve tout de même des donjons annexes, mais aussi du loot dans la limite du raisonnable, loin d'un Diablo, mais là encore, plus proche d'un Dark Souls. Et de ce dernier, il reprend toujours une formule exigeante dans laquelle chaque mort fait revenir au feu de camp (que je ne nommerai jamais autrement) en plus de ressusciter tous les ennemis de la zone. On y trouve aussi une barre d'endurance qui se vide quand on attaque au corps à corps uniquement mais surtout quand on esquive, ce qui donne son identité à Remnant. Ce sont des TPS où les ennemis attaquent bien plus au corps à corps qu'à distance, renforçant cette notion peu élégante mais, allez, disons-la, d'un Dark Souls avec des guns. Et au risque d'énoncer des évidences, Dark Souls avec des guns, ce n'est pas Dark Souls du tout. On attribue beaucoup à la saga de From Software sa formule, sans forcément y inclure sa maniabilité. Ainsi donc, on attribue le Souls-like à des jeux comme Hollow Knight, Tunic ou Stranger of Paradise sans qu’il n’y ai réellement de raisons à part éventuellement l’existence des checkpoints/feux de camp. Pourtant, la maniabilité d’un Dark Souls est une part très conséquente de ce qui fait la force du jeu et de son identité. On ne compte plus les clones qui essayent bêtement de recopier sans essayer de se distinguer. Pour le coup, on peut faire la distinction avec les jeux cités précédemment quand on songe aux Ashen, The Surge, Lords of the Fallen, Code Vein, Hellpoint qui souffrent constamment de la comparaison avec leur principale source d'inspiration, en voulant la copier presque à l’identique. Le seul véritable clone que je trouve plus ou moins réussi est Lies of P, qui effectivement, applique la formule a un niveau très chirurgical, au risque d’être accusé de plagiat. Sa direction artistique très « inspirée » de Bloodborne c’est une chose, les roulades qui ont exactement la même animation, c’en est une autre. Et cet exemple en est la preuve, Lies of P, même s’il est plaisant et réussi, me donne plus envie de relancer Bloodborne plutôt que d’aller au bout. A aucun moment Remnant et surtout Remnant 2 ne m'ont donné envie de relancer un Dark Souls.

Pourtant, entre les deux Remnant, il y a un titre qu’on a tendance à oublier (je n’en avais d’ailleurs jamais entendu parler) qui échoue lamentablement sur ce point d’inspiration. Il s’agit de Chronos Before the Ashes, une préquelle au premier Remnant qui nous plonge dans un monde plus classique de fantasy. Malheureusement, contrairement aux deux autres épisodes, lui hérite d’un squelette pompé sur Dark Souls dans sa maniabilité : mouvements lourds, attaque avec R1, bouclier avec L1, etc. Et c’est surement la pire version de Dark Souls à laquelle j’ai pu jouer. La maniabilité ainsi reprise est cauchemardesque et la lourdeur ainsi que la mollesse du personnage rendent l’aventure atroce. Non parce que c’est difficile, mais parce qu’on s’ennuie fermement. On peut même casser le jeu en bourrant les ennemis avec les attaques lourdes et les stunlock à l’infini. Il m’a rappelé Ashen, pour ceux qui ont vraiment une bonne mémoire pour les jeux randoms, mais en bien plus mauvais. Paradoxalement, là où il a quelques idées à lui, c’est autour. On ne gagne pas ses niveaux comme dans un Dark Souls, et surtout à chaque mort, notre personnage (mais honnêtement en termes de ressenti, le joueur aussi) vieilli d’un an. Plus notre personnage est jeune, plus il peut investir ses points de capacité dans la force ou l’agilité, et plus il est vieux, plus ce sera dans la magie. Il y a une idée, bon, c’est tout. Soyons indulgent tout de même. A la base, c’est un titre VR qui a ensuite été porté en version « classique » ce qui peut expliquer sa lenteur. Je voulais quand même citer le jeu parce que c’est un bon exemple contradictoire avec les autres titres de Gunfire Games qui ont l’intelligence de ne pas singer le gameplay de base de la saga de From Software à l’inverse de celui-ci. Même s'ils lui prennent des idées, ce qui rend les Remnant aussi réussis c'est leur distinction.


Remnant 2

Mine de rien, un tps jouable en coop' avec des classes différentes qui est faisable aussi en solo sans qu'on ai l'impression de vivre l'expérience à moitié, ce n'est pas si commun. De la même façon, cet esprit TPS en multi qui n'est pas parasité par une dimension "jeu service" ayant 12 monnaies différentes ou des systèmes relous hérités de MMORPG est rafraîchissant. Je nivelle un peu par le bas face à une concurrence que je trouve assez médiocre mais Remnant et en particulier Remnant 2, version plus aboutie et assurée que le premier, a de très bonnes idées à proposer. Déjà à l’époque du premier je complimentais ses boss qui étaient loin d’être des sacs à pv, ce qui n’empêchait pas les affrontements d’être serrés. Ici c’est toujours le cas sauf qu’ils s’appuient bien moins sur un renfort de troupes ennemis pour corser la bataille, mais de vrai changement de pattern. Il n’y en a qu’un seul que je n’ai pas apprécié, et il a quand même le mérite de tenter quelque chose. En plus d'avoir un très bon feeling concernant les armes, et d’inciter à parfois jongler avec le corps à corps tant les munitions peuvent être limitées, les classes m’ont semblé bien équilibrées. On se retrouve avec des classiques comme soigneur, sniper, ou fusil à pompe, mais petit à petit d’autres se débloquent. L’aventure nous offre d’ailleurs la possibilité d’avoir une deuxième classe au niveau 10. Je vous invite à vous pencher sur la classe de maître-chien en principale ou secondaire si vous jouez en solo, tant notre petit animal peut être pratique pour tanker. Dans sa générosité, on peut noter aussi que comme dans le premier, on peut terminer le jeu uniquement avec son arme de départ, quand bien même on en ramasse plein d’autres. Je ne sais pas trop comment me situer là-dessus. J’apprécie le fait d’avoir un bon équilibrage entre toutes, mais en contrepartie, on n’est jamais tenté d’en essayer de nouvelles.

Le titre a aussi une utilisation de l'aléatoire et du procédural intéressante. L'univers de Remnant est découpé en plusieurs mondes, mais la structure sera toujours celle-ci : introduction, monde 1, le Labyrinthe, monde 2, monde 3 et la Racine. L'introduction, le labyrinthe et la racine seront toujours placés dans cet ordre, et même si le level design peut changer d'une partie à une autre dû au fait qu'il est généré de façon procédurale, les biomes seront toujours les mêmes. En revanche, les mondes 1, 2 et 3 ne seront pas forcément dans le même ordre selon les joueurs. Une feature simplement sympathique mais qui illustre l'envie d'inciter les joueurs à relancer une partie ou un NG+. Là où ça devient vraiment cool, c'est que chacun de ces trois mondes possède deux versions jouables. Deux storylines différentes pour chaque monde, et des boss également différents. C'est très audacieux de la part du studio, d'autant plus que je ne suis pas certain que le jeu l'indique. Il compte vraiment sur le fait que les joueurs relancent l'aventure et découvrent la surprise, ou qu'ils l'apprennent via les forums et que ce soit une source de motivation pour le refaire. Bon, je n'ai pas recommencé immédiatement, mais le fait de savoir que j'ai au moins un tiers du titre que je n'ai pas pu découvrir me laisse penser que ce sera surement le cas un de ces quatre. D’autant plus qu’on peut réinitialiser chaque monde indépendamment tout en gardant notre personnage. Attention, certains aspects de l’aléatoire sont à double tranchant. S’il est certain que c’est ce qui permet aux développeurs de faire deux versions du monde à chaque fois, le level design très quelconque et toujours similaire en souffre pas mal. On voit aisément que ce sont des morceaux de level créé par des mains humaines mais que leur assemblage empêche d’en faire des zones géniales. Il y a très peu de travail sur la verticalité par exemple, et seul le monde de Losomn a une bonne séquence de grimpette dans la tour de l’horloge, ainsi qu’un manoir gothique hanté à traverser qui vient relever le relever le niveau et en font une zone un peu plus mémorable. Losomn est d’ailleurs incontestablement le meilleur monde (que j’ai eu en troisième, comme une cerise sur la gâteau) pour son ambiance très héritée de Bloodborne ou Resident Evil 4 sans que ça ne soit jamais grossier.

L’univers de Remnant 2 nous permet de voyager entre différents mondes ce qui permet au jeu d’aisément passer d’une ville gothique en proie aux flammes comme Losomn à N’Erud, un vaisseau monde entouré d’un brouillard mortel qui évoque plus Warframe visuellement. En gros, son postulat lui permet de faire un peu tout et n’importe quoi sans que ce ne soit jamais absurde. Chaque monde a sa propre ambiance, une identité propre, ainsi qu’un bestiaire différent évidemment qui la aussi se renouvelle donc régulièrement. Malheureusement, pour la troisième fois que je pars d’une qualité, il me faut la nuancer, car si c’est réussi visuellement et pour l’exploration, en termes d’écriture c’est une autre histoire. Exactement comme pour son premier épisode ou Darksiders 3, l’aventure peine à nous intéresser avec son univers. Il n’essaye pourtant plus du tout d’être cryptique comme peut l’être un Dark Souls. On sent au contraire qu’il veut sincèrement nous expliquer son lore, mais la sauce ne prend pas. La faute revient à une narration quelconque mais surtout un vrai manque de personnalité dans l’écriture, en particulier celle des personnages qu’on croise tout au long du jeu. C’est assez frustrant par rapport à son postulat de voyage entre les mondes qui lui permettrait pourtant de se lâcher complètement dans son univers.


Pour tout cela, pour le bon et malgré le mauvais, Remnant 2 est un jeu très très très…sympathique. C’est déjà énorme. Gunfire Games fait des jeux sympathiques. C’est très bien comme ça. Ce n’est pas un chef d’œuvre. Il a un équilibrage assez étrange dans sa difficulté, souvent trop simple, puis soudainement trop difficile ; certains ennemis ont la fâcheuse tendance à apparaitre dans notre dos, ce qui peut vite agacer (d’où le conseil de prendre la classe du maitre-chien) … Il a plein de défauts, mais après une petite vingtaine d’heures dessus, j’en sors tout de même très satisfait. J’ai réellement passé un très bon moment. De la même façon, j’avais trouvé le premier agréable, tout comme Darksiders 3. Remnant 2 me semble tout de même plus abouti, plus confiant que ces deux titres. Le studio semble, comme toujours, comprendre le média et ses tendances, mais construit bien plus dessus qu’auparavant. Il souffre encore d’un manque de personnalité dans son univers, mais son gameplay en fait une expérience qui sort tout de même du lot, et on peut le voir avec sa communauté qui a l’air extrêmement bienveillante, et Gunfire la lui rend bien avec une politique de dlc tout à fait honnête. Surtout Remnant 2 a l’air parfaitement à l’aise avec son statut de moyen budget et donc ses limites. Il n’essaye pas d’en faire trop, tout en étant très généreux. Sa philosophie de génération procédurale l’illustre parfaitement et lui permet de créer une expérience personnalisée pour chaque joueur avec des astuces plutôt simples. Plus que tout le reste, le sentiment qui émerge de ce jeu et qui était perceptible dès les précédents, c’est une forme de modestie face au reste de la production. On est face à un jeu sincère, qui a ses limites et ses défauts, qui en a conscience, mais qui les compense largement grâce à ses idées, ses emprunts et son originalité. Remnant 2 est très sympathique.


TruffeMax
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le 27 févr. 2024

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