Évidemment, impossible de ressortir la GameCube sans être tenté de relancer Resident Evil 4. C’était LE jeu pour lequel j’avais acheté la console, et il est longtemps resté dans mon trio de jeux favoris. À sa sortie, il marquait une rupture : fini les couloirs étroits de Racoon City, place à des environnements plus vastes, un gameplay nerveux et des ennemis bien plus agressifs. Replonger dans les premières minutes m’a suffi pour réveiller toute une vague de souvenirs. La prise en main est plus raide aujourd’hui, mais l’impact de ce titre reste indéniable.