Un survival horrifique qui manque cruellement de nerf

🕹️ Une ambiance incroyable… mais un jeu introuvable

Routine mise tout sur son esthétique rétro-futuriste, ses couloirs métalliques, ses lumières froides, son anxiété permanente.

Et oui, l’ambiance est là.

Elle est même meilleure que le jeu.

Parce que dès qu’on prend la manette, tout s’effondre :

rythme absent, interactions minimales, progression floue.

Routine ressemble plus à une démo étirée qu’à un vrai survival horror.

👁️ Gameplay : quand la peur se résume à marcher

On avance.

On observe.

On attend.

On avance encore.

Le jeu ne propose presque rien d’autre.

Les mécaniques sont tellement limitées que la tension promise se transforme en long silence gênant.

C’est lent, c’est répétitif, et ça manque de tout ce qu’un survival devrait offrir :

danger, pression, imprévu, adrénaline.

Ici, la peur ne monte jamais.

Elle stagne.

Puis s’éteint.

🤖 Ennemis : rares, prévisibles, oubliables

Les robots menaçants qu’on voyait dans les trailers ?

Ils existent, oui.

Mais leur comportement est tellement scripté qu’ils en deviennent décoratifs.

Pas de vraie IA, pas d’agressivité, pas de panique.

Juste des rencontres molles, sans challenge, sans impact.

🎧 Direction artistique : belle… et vide

L’identité visuelle est superbe :

CRT, néons, métal usé, NASA 80’s, ambiance claustro.

Mais derrière cette façade, il n’y a aucune profondeur.