Bien, Super métroid. Un jeu sortie bien avant ma naissance, et que je connaissait pas vraiment avant Smash Bros (le seul jeu de la licence que je connaissait était Métroid Prime 1 sur Gamecube). J'ai donc connu cette bonne vielle Samus grâce à smash (merci Smash) et j'ai donc décidé de le faire après parce que cela m'intéressait et que beaucoup de personnes en parlait en bien. En bref, je l'ai joué (je n'allait pas en faire une critique sinon) et j'ai beaucoup aimé. Même si il n'a pas fait beaucoup de vente à sa sortie, il mérite son statue de créateur des Metroidvania qui lui sera donnée par la suite. Mais d'abord qu'est-ce un Metroidvania? Un metroidvania est un type de jeux vidéos non linéaires où le joueur fera de nombreux allés/retours dans les différents endroits de la carte suite au fait qu'il gagnera de nombreuses améliorations au fur et à mesure de sa progression. Comme son nom l'indique, le jeu est donc, avec Castlevania Symphony of the night, le pionnier de ce genre, même si d'autre jeux du même style existait bien avant son arrivé (coucou Xanadu en 1985). Et oui, il a vraiment bien défini les code de ce genre, ce qui fait que je l'aime vraiment pour ça. Mon exemple le plus marquant est le moment avec Crocomire. En effet, après avoir battu ce boss, on entre dans une salle pour obtenir un power up très important qu'est le grappin, et lorsque l'on revient dans la pièce où ce trouvais Crocomire, on peut aller dans l'endroit non explorable grâce à cette objet. Et ce n'est pas le seul cas dans le genre, notamment avec d'autres boss, comme la fleur qui nous donneras les super missiles qui permet de continuer l'exploration de brinstar ou encore Kraid qui nous donne la première amélioration de l'armure de Samus qui nous permet d'aller dans Norfair sans problème, ainsi que des différents parties du jeu.
En parlant de ces dernières, J'ai également beaucoup aimé la carte du jeu. En effet, les développeurs ont très bien conçu et reliées les différentes parties de la carte de cette chère Zebes, toutes en le donnant une identité propre. Que ce soit la chaleur du volcan qu'est Norfair, les marais de Brinstar, où encore Maridia et ses déserts (la zone que je déteste le plus de Super métroid), chaque zone ne se ressemble pas et permet donc de renforcer l'immersion qui n'était pas présent dans les deux premiers métroid, qui n'avais qu'un fond noir comme arrière plan.
Bon par contre parlons d'un point assez décevant qui sont, pour moi, les boss qui , à défaut d'avoir de très bonnes tronches , sont d'un facilité déconcertante. J'ai beau avoir aimé le jeu, c'est dommage d'avoir négligé cela.
Les musiques, quand à elle, sont peu nombreuses mais vraiment cool et étant en parfaite harmonie avec les zones.
En bref, Super Métroid est un excellent jeu que j'ai adoré et qui a codifié les bases d'un nouveau genre.
Sur ce, au revoir.