le 7 sept. 2020
MORE. I WANT MORE.
Mind Control Delete est LE mode de jeu qui manquait à SuperHot. C'est sans doute dommage qu'il débarque aussi tard - et sous forme de stand-alone - mais d'une part il est offert aux possesseurs du...
Application SensCritique : Une semaine après sa sortie, on fait le point ici.
Je n'avais pas joué au tout premier jeu "Superhot", car j'avais joué à sa version VR, et je savais d'avance que si je jouais au même jeu (même si les level-designs sont un peu différents) sans l'aspect VR, juste à refaire la même chose sur un écran normal, forcément ça allait être une déception.
Du coup, là avec cette suite "Mind Control Delete", je me suis dit au moins je vais pouvoir profiter d'une toute nouvelle expérience, et en plus à ce que j'ai compris il n'y a pas de version VR de prévue pour ce titre.
Et au début du jeu, je me suis dit "génial, les sensations sont là, bon pas autant qu'en VR où tu peux te contorsionner dans tous les sens pour éviter les balles, mais le feeling reste très bon". Puis extrêmement rapidement je me suis rendu compte : "tiens, mais pourquoi le niveau se termine alors qu'il reste des ennemis?".
Et c'est là qu'on se rend compte qu'on a affaire à une suite de niveaux qui contrairement au précédent n'ont pas été construit spécifiquement avec une mise en scène et un level design adapté, mais cette fois-ci on a une suite de niveau qui au global sont à peu près tous les mêmes, une grosse salle avec des couvertures, et des points de spawn pour les ennemis. 99% du temps tu vas commencer le niveau avec un ou deux mecs juste en face de toi, tu les tues, et puis ensuite tu regardes où spawnent les ennemis suivants, tu peux pas te permettre d'aller explorer librement car ça peut spawn dans toutes les directions, du coup tu guettes le spawn, et tu les tues, et puis c'est déjà fini. Une boucle qui dure entre 10 et 30 secondes qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète. Et qui se répète.
Voilà, je vous ai tapé environ le nombre de niveaux que j'ai faits (2 étages complets et une partie du 3eme), tous les mêmes et tous finis à peu près de la même façon (et c'est également beaucoup trop facile, j'ai dû me faire toucher genre 5 fois en tout, et juste parce que j'essayais de rusher). Le gameplay de base est toujours très bon. Mais pour un jeu qui justement faisait quelque chose de très différent de ce qui se faisait à côté, ceci est une des suites les plus fainéantes que j'ai vu à comparaison. Dommage.
Créée
le 17 juil. 2021
Critique lue 72 fois
le 7 sept. 2020
Mind Control Delete est LE mode de jeu qui manquait à SuperHot. C'est sans doute dommage qu'il débarque aussi tard - et sous forme de stand-alone - mais d'une part il est offert aux possesseurs du...
le 11 août 2020
Disclaimer : Cette critique est pleine de SPOILERS et n'engage évidemment que le ressenti de son propre auteur SuperHot MCD est un jeu de tir à la première personne reprenant l'idée de game design...
le 17 juil. 2021
Je n'avais pas joué au tout premier jeu "Superhot", car j'avais joué à sa version VR, et je savais d'avance que si je jouais au même jeu (même si les level-designs sont un peu différents) sans...
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