The Day Before devait être le survival ultime : mélange de The Last of Us, The Division et DayZ, dans une ville immense, pleine de zombies, de tension et de promesses. Les trailers faisaient rêver : graphismes next-gen, gameplay immersif, features infinies. Et puis le jeu est sorti… et on a découvert la vérité.
C’est simple : rien ne marche. La map est vide, les ennemis ont l’IA d’un caillou, les animations sont rigides, et la technique fait honte à tout ce qui avait été montré avant. Optimisation inexistante, bugs à la pelle, menus bancals : on a l’impression de jouer à une alpha bricolée, pas à un “AAA révolutionnaire”.
Et surtout : aucune âme. Pas de survie, pas de vrai loot intéressant, pas d’histoire, pas de gameplay accrocheur. Juste une coquille vide vendue au prix fort. La seule chose impressionnante, finalement, c’est la capacité du jeu à avoir berné autant de monde avec ses trailers.
Aujourd’hui, The Day Before est déjà mort, retiré des stores, devenu un cas d’école de promesse non tenue. Une superproduction fantôme, un mirage vidéoludique.