La réponse japonaise à l'occident.

Alors que beaucoup de joueurs se perdent en ce moment dans les contrées de "Tears of the Kingdom", je me suis motivé à rattraper mon retard et découvrir l'origine du phénomène ressuscité en 2017. Il faut reconnaître qu'il y avait urgence pour Zelda: la sortie du pauvre "Skyward Sword" en novembre 2011 face au Gargantua "TES V: Skyrim" a laissé des traces. Donc désormais, même concept pour Hyrule: on l'explore comme on veut, où on veut et on peut même s'offrir une maison (mais pas d'épouse, dommage :] ). Occidentaliser sa licence aurait pu être casse-gueule mais quand Nintendo se décide à se sortir les doigts du *bip*, la lumière se remet à briller. J'ai bien aimé les sanctuaires, qui favorisent les courtes sessions. J'en ai bouclé environ une quarantaine et ça m'a suffit. J'ai préféré tout miser sur la jauge de cœur et compenser l'endurance par la cuisine. Débloquer toutes les tours, les souvenirs, l'épée légendaire et le bouclier d'Hylia étaient mes priorités. J'ai aussi exorcisé les 4 créatures divines car aucune envie d'affronter les 4 boss lors de l'affrontement final. Trouver tous les souvenirs permet de débloquer une fin secrète donc ça vaut le coup, en plus de comprendre l'histoire (sympa mais sans plus, comme d'hab'). Quant à la princesse Zelda, sa version BOTW est ma préférée de la série: frustrée, jalouse envers Link pour des raisons qu'on peut comprendre mais toujours responsable et déterminée. Ses trois tenues différentes lui vont à ravir, surtout celle avec le pantalon noir moulant (mais ça, j'aurais peut-être pas dû le préciser). Et la DA? Ben magnifique, quoi.