Voilà le genre de jeu que je préférerais savoir perdu dans les limbes du passé : de la plate-forme / action (quasiment du beat'em all en fait) à la maniabilité rigide et doublée d'une difficulté vexatoire, dans l'esprit du vieux Ghosts'n Goblins. Dans Völgarr on est largué directement dans l'action, ennemis sournois et plates-formes retorses se succèdent ad nauseam - il va sans dire que la présence de checkpoints est inversement proportionnelle à la difficulté - et avec un placement vicieux qui exploite à dessein la rigidité volontaire du gameplay. Progresser est un exercice de mémoire et de persévérance pour trouver le placement idéal pour franchir chaque difficulté. Du die & retry bêtement méchant pour joueurs masochistes. Personnellement je déteste.
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le 20 août 2015
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